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Pensées pour nous-mêmes:
(NE PENSE PAS,
AGIS)
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"Bosser en travaillant,
Se fatiguer en s'épuisant,
Chanter en s’époumonant..."
(L'air des "Damnés de la Mine"
avait des paroles un rien sarcastiques)
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"Y sont où les millionnaires Français?
- Envolés! La faute à ces socialo-communiste-trotskystes
de mes deux... Connaissent pas la bonne odeur
de l'argent pourri, ces tantou..."
demotivationalpost.com
Français fortunés, ne craignez rien,
l'UMP travaille pour vous !
(...) Assez discrète sur les très nombreux plans sociaux que le précédent gouvernement avait réussi à bloquer, jusqu'à l'issue de la présidentielle, l'UMP a décidé de se mobiliser pour avoir la peau de la contribution exceptionnelle, qui devrait toucher les plus fortunés des français. (...)
Ils vont saisir le Conseil Constitutionnel pour obtenir l'annulation de certaines mesures votées par l'Assemblée Nationale où ses députés sont désormais minoritaires. Ils mettront néanmoins, toutes leurs forces dans la défense d'une catégorie qu'ils ont choyé durant la précédente législature : Les plus fortunés d'entre nous !
Il faut en effet savoir que les députés ont voté une contribution exceptionnelle qui concerne les contribuables possédant un patrimoine supérieur à 1,3 million d'euros et soumis de ce fait à l' ISF.
C'est était trop pour l'UMP, inventeuse du bouclier fiscal, qui a permis à 13 000 bénéficiaires de toucher de la part du fisc, un chèque moyen de 56 400 € en 2011 et qui aurait coûté la modique somme de 3,6 milliards entre 2007 et 2012.
Gilles Carrez, le président UMP de la Commission des Finances à l'Assemblée Nationale, a choisi pour justifier le futur recours au Conseil Constitutionnel, de de faire pleurer dans les chaumières ... de smicards ou de précaires : « (...) l’exemple d’une veuve vivant de la pension de reversion de son époux et ayant « un grand appartement à Paris de 3 ou 4 millions d’euros (...) Elle ne pourra pas payer la contribution exceptionnelle. Est-ce que c’est normal ? » En gros, on essaye de nous refaire le coup de l'agriculteur de l'Ile de Ré vivant avec 1000 € par mois et dans la quasi impossibilité d'assumer le montant de son ISF. Ceci justifiant des débats à n'en plus finir sur l'injustice de cet impôt, pour tous ceux qui eux ont des revenus d'un tout autre genre.
A l'évidence, le sort d'une veuve vivant de la pension de reversion de son époux (payé au smic), et vivant dans les deux pièces d'un logement social, émeut beaucoup moins à l'UMP !
Lire sur:
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"Y'a un dingue qui nous a jetées à la mer...
Paraîtrait qu'on avait dépassé la date
de péremption..."
François Verdet, un "gardien de la côte"
devenu spécialiste de la pollution plastique
(...) François Verdet, un des 23 "gardiens de la côte" bénévoles de la Surfrider foundation Europe, s'est emparé du dossier des "+medias filtrants+, ces capsules de filtrage d'eaux usées rejetées dans l'Océan, pour devenir presque malgré lui un spécialiste mondial. (...)
(...) Ce quarantenaire placide, graphiste de profession, avoue n'avoir "jamais imaginé un engagement aussi conséquent". Mais il ne regrette rien des longues heures passées à tenter de comprendre le pourquoi de l'échouage de ces cercles de plastique, repérés dès 2007 sur les plages de la côte basco-landaise.
A l'époque, "personne ne savait ce que c'était. Je voulais savoir d'où ça venait", raconte le Lyonnais installé en famille à Bidart, sur la côte basque, depuis plusieurs années.
Il tape alors à la porte de la Surfrider, dont le siège est à Biarritz. L'association (loi 1901) s'est donné "pour but la défense, la sauvegarde, la mise en valeur, la gestion durable de l'océan, du littoral, des vagues et de la population qui en jouit". Elle lui propose de devenir "Gardien de la côte" et de s'emparer de ce dossier qui le conduira finalement à mener l'enquête pendant près de deux ans.
Patiemment, il remonte la chaîne pour connaître les fabricants de ces roulettes de quelques centimètres chargées de bactéries mangeuses de déchets et utilisées dans le traitement des eaux usées des stations d'épuration, l'industrie agroalimentaire, la pisciculture ou sur certains paquebots de croisière.
"Poussé par les gens qui me demandaient des informations, je suis devenu spécialiste alors que les stations d'épuration n'étaient vraiment pas ma tasse de thé", s'amuse-t-il. Il a été contacté par des Canadiens "après une pollution survenue aux Etats-Unis", des Brésiliens et de nombreux mouvements de défense de l'environnement en Europe.
Pour répondre aux sollicitations, il a créé un site internet. "Le but aujourd'hui est de faire connaître le savoir qu'on a compilé", explique-t-il. Grâce à cet engagement, la Surfrider est devenue une référence sur le dossier des "medias filtrants". "Si une autre pollution survenait, nous serions plus réactifs pour remonter à sa source", dit-il.
Parmi les pollutions les plus massives recensées, celle survenue en 2010 à Corbeil-Essonnes, en région parisienne, avec près de 20 millions de capsules rejetées dans la Seine, "probablement d'une station d'épuration". Une autre a été relevée entre Espagne et Portugal, sans que l'origine formelle n'ait été identifiée.
"Les médias filtrants retrouvés sur la côte basco-landaise et jusque sur des plages du nord de la France proviennent vraisemblablement d'une pollution survenue à l'automne 2009 dans l'industrie du papier" au Pays basque espagnol, soupçonne M. Verdet.
Il a ainsi pu établir une carte recensant les littoraux où ont été ramassés les roulettes filtrantes qui a récemment révélé que "la Méditerranée est aussi touchée, alors qu'auparavant seule la façade atlantique l'était". Il s'emploie désormais à sensibiliser les entreprises et collectivités locales, premières utilisatrices de médias filtrants pour le traitement des eaux usées, grâce à des campagnes médiatiques et par l'intermédiaire de l'Association des maires de France. (...)
Lire sur:
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"Etre riche, c'est bien...
Les pauvres, c'est sale et ça pue...
Les immigrés, y sont pas humains...
Les Partis Extrêmes, y défendent nos valeurs..."
(Les méthodes de ce psychothérapeute
étaient controversées)
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Benoît Barvin
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