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Pensées pour nous-mêmes:
(SOIS LE SOLEIL QUAND IL FAIT NUIT)
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(Forteresse volante US apportant son poids en friandises
à un peuple méritant)
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"Harcèlement? Qué harcèlement?
Moi, y'a personne qui m'embête!"
#harcelementderue:
les filles racontent sur Twitter
leurs mésaventures
Le Huff Post | Par Sandra Lorenzo
(...) RÉSEAUX SOCIAUX - Hasard du calendrier, mardi 31 juillet alors que le Parlement a définitivement adopté, par un ultime vote de l'Assemblée nationale, la loi sur le harcèlement sexuel, une vidéo sur le harcèlement, cette fois-ci dans la rue, faisait le tour du web.
"Chienne", "salope", voici ce qu'entendait à longueur de journée, Sofie Peeters, une jeune femme belge, étudiante en dernière année de cinéma à Bruxelles qui en a fait un documentaire. Fraîchement installée dans un quartier populaire de la capitale belge, elle décide, pour son projet de fin d'étude, de filmer ce machisme ordinaire dont elle fait les frais tous les jours et livre la bande-annonce sur le web.(...)
(...) Le documentaire a fait beaucoup réagir sur le web français et en particulier sur Twitter. Grâce au hashtag #harcelementderue, de nombreuses personnes ont raconté leurs mésaventures et ont débattu. Entre anecdotes glauques et tweets sexistes, les internautes francophones sont aujourd'hui encore toujours nombreux à commenter.
Alors qu'en Belgique, la ministre de l'Intérieur et un adjoint de la mairie de Bruxelles ont annoncé des mesures pour reconnaître ce type de harcèlement, Najat Vallaud Belkacem, ministre des Droits des femmes, qui s'est félicitée hier sur Twitter de l'adoption de la loi sur le harcèlement sexuel n'a pas encore répondu aux nombreuses personnes qui lui demandent de faire de même. (...)
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"Préserver la Nature, j'te jure!
Et tout ça, à coups de machette
homologuée bio...
Si j'avais su, hein?"
(c) Bob Morane- Joubert/Vernes
Cuyabeno, un exemple pour l’avenir
de l’Amazonie
Fabien
(...) La Réserve de Cuyabeno, située dans le Nord-est de l’Équateur, est une de ces régions où l’homme est parvenu à panser les plaies de la forêt. Quelques chiffres : 6033,8km2, 12000 espèces de plantes, 550 espèces d’oiseaux, 350 espèces de poissons, 14 lacs et 3 communautés indigènes (Siona, Secoya, Cofan). La réserve est connue pour être l’un des lieux à la biodiversité la plus dense du monde. On en parle moins pour le tourisme, qui a atteint une dimension écologique et, en somme, stratégique …(...)
(...) Tout a commencé dans les années 1990. La vie des communautés indigènes, qui avant vivaient de la chasse, de la pêche et de l’agriculture, a changé avec l’arrivée de ce qu’on appelle « l’écotourisme » dans la réserve. Le Tapir Lodge a été le premier écolodge (logement écologique)à s’installer dans la réserve, suivi par un, puis deux, puis trois écolodges, pour aujourd’hui être 5 écolodges à stimuler l’activité écotouristique dans la réserve.
Hormis l’aspect économique, on est en droit de se poser la question de l’intérêt de ces écolodges ?
L’écotourisme, s’il est bien géré, est un apport considérable pour la préservation de l’environnement. Les lodges s’installent avec un impact minimal sur l’environnement (ex : électricité fournie grâce à l’énergie solaire). Avec les revenus dégagés, on dispose alors d’un argument pour préserver la réserve des menaces extérieures (ex : compagnies pétrolières). En travaillant en collaboration avec les communautés indigènes, les écolodges leur fournissent les revenus durables pour conserver leur habitat et protéger et partager leur culture. (...)
Document officiel pour la protection de la réserve: Araya-Peters.PDF
Tapir Lodge, 1er écolodge de la réserve : tapirlodge.com
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"T'as vu? Elle a les mêmes pompes que ma femme...
- T'es c..., toi alors, mais C'EST ta femme!"
some things never change?
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Luc Desle
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