Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

vendredi 28 septembre 2012

"Elle buvait sec cette borne d'incendie". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet".

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Pensées pour nous-mêmes:

(CROIS-MOI, LE TEMPS
NE T'ATTENDRA PAS)

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(Cette Amazone avait une sacrée chute de reins...
mais elle n'aimait pas qu'on le lui dise)

Sagittarius
(via kenikila)
Source: g3blacknwhite

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(Comme d'habitude, en Amérique Latine,
les relations entre le Pouvoir et le Peuple
étaient très étroites)


Assassinat 
d'un défenseur des paysans

   (...) L'avocat Antonio Trejo, connu pour son travail en faveur des paysans en lutte pour le droit à la terre dans la région de Colon, a été abattu le 23 septembre dans la banlieue de la capitale Tegucigalpa, rapporte le site web du journal. 
   Il a été abattu alors qu'il sortait d'une église, où il assistait à un mariage, pour répondre à un appel téléphonique. Plus de 60 personnes ont été tuées au cours des deux dernières années au Honduras dans des conflits liés à la terre. Le Honduras a le plus fort taux de meurtres au monde (86/100 000) (...)


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"Ca? Hé bien ce sont des chats un peu sauvages et...
Des léopards? Ahaha... Et quoi encore, hein?"

Maria Stinger, Boca Raton, 1954. 
This photograph, Bunny’s first sale, became a cover of Eye.

(Cette actrice était une vraie blonde)

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"Aller en banlieue, en France? Heu, je ne sais pas... 
Pourquoi pas?
Y'a de l'argent à se faire là-bas?"

glamour hotesses salon Qatar

Le Qatar, sauveur 
controversé des banlieues

   (...) Pour Libération, il s’agit d’une “OPA sur la banlieue”. Après un an d’hésitations, le gouvernement français vient d’accepter la constitution d’un fonds qatari doté d’environ 100 millions d’euros, pour financer le développement des quartiers “sensibles”, c’est-à-dire les banlieues des grandes villes françaises.

   Il ne s’agit pas d’une initiative spontanée, rappelle le quotidien : "c’est l’Association nationale des élus locaux pour la diversité (Aned) qui a demandé à l’émirat d’investir dans les banlieues [...] puisque la France ne s’occupe pas de ses quartiers populaires”. Mais le Qatar, déjà propriétaire de plusieurs hôtels de luxe et du club de football du Paris Saint-Germain, ainsi qu’actionnaire de nombreuses grandes entreprises, s’implante ainsi un peu plus dans le paysage économique et social français. Ce qui pose plusieurs questions, selon Libération :

   La diplomatie du Qatar a beau jouer des circuits qui définissent le monde moderne, celui de la finance, des médias de masse, du sport, du divertissement mais aussi de l’art et du savoir, elle n’est en rien une philanthropie. Pas plus en France que dans les autres pays où l’émirat déploie ses antennes et ses investissements. Voir ainsi le Qatar débarquer dans les banlieues françaises pour s’y substituer à une République impécunieuse mérite donc d’y regarder à deux fois. Quelles sont les modalités concrètes de cette intervention et les contreparties éventuelles ? Quelles seront les prochaines étapes, dès lors que la France accepte une première fois de sous-traiter à un pays étranger une partie de ses obligations souveraines ? Persistant parfum de mystère et de raison d’Etat. (...)


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Benoît Barvin

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