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Pensées pour nous-mêmes:
(SIROTE LE BONHEUR)
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"Comment ça, en little boss je ne suis pas crédible?
Dis-me-le-moi une autre fois, qu'on rigole..."
therubicon.org
ROYAUME-UNI
Le scandale des pseudo-PDG
(...) Le quotidien britannique annonce ce 26 novembre une série de révélations sur un "extraordinaire réseau" de chefs d'entreprise postiches. Une enquête menée conjointement par la BBC et le Consortium international de journalistes d'investigation de Washington met au jour une liste de plus de 21 500 entreprises, qui utilisent un groupe de 28 soi-disant chefs d'entreprise, pour la plupart britanniques. Ces personnes vendent leurs noms à des entreprises qui souhaitent garder secrètes leurs activités. (...)
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"C'est à cause d'Edison que t'es comme ça...
- Merci Nikola, je retiens le nom..."
RIVALITÉ
Edison vs Tesla :
les voix de la raison
(...) "Nikola Tesla n'était pas Dieu, ni Thomas Edison le diable". Si la revueForbes se donne la peine de titrer ainsi, c'est parce que le culte voué au scientifique sur Internet est entré dans une phase de démesure. Tesla est sorti de son relatif anonymat pour entrer dans la peau d'un héros incompris, un génial inventeur spolié par son ennemi juré, Thomas Edison. Mais ce costume est mal coupé.
Il y a du vrai dans la rivalité qui a opposé les deux hommes, reconnaît l'article, et Nikola Tesla était effectivement un visionnaire et un inventeur prolifique. Pour autant, ce n'est pas à lui que l'on doit l'invention du courant électrique, comme l'affirme The Oatmeal, mais à Faraday. Mais il l'a rendu réellement transportable et utilisable à grande échelle. Edison n'a pas non plus empêché Tesla d'inventer le radar... Et Tesla n'a pas découvert les rayons X. L'enthousiasme du site de comics l'a empêché de se souvenir d'une chose, conclut l'article de Forbes. Nikola n'était au final qu'un être humain, et Edison aussi.
The Smithsonian Magazine, lui, part exactement de ce constat. "Tesla était peut-être un homme brillant, mais c'était juste un homme", écrit le site de l'institut scientifique Smithsonian, qui rappelle que le scientifique s'était parfois fourvoyé. Il affirmait ainsi que l'eugénisme était la voie à suivre pour purifier l'humanité ; il préconisait ainsi la stérilisation des criminels et des malades mentaux. Une attitude sans doute un peu dangereuse (non, tu crois?). Car le savant, qui souffrait de multiples obsessions (par exemple, son amour passionnel pour les pigeons et les colombes), de troubles obsessionnels et compulsifs (comme peser sa nourriture, ou ne séjourner que dans des chambres d'hôtel dont le nombre est divisible par trois) et qui refusait de consulter les médecins, aurait lui-même, sans doute, été victime de cette belle politique ! (...)
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"Bien sûr que cette arme est factice...
Je vais vous montrer..."
"Bien sûr que cette arme est factice...
Je vais vous montrer..."
RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
Le chef de l'armée de terre
suspecté de vendre des armes
(...) "Le président Joseph Kabila, commandant suprême des forces armées de la république démocratique du Congo (RDC) a suspendu, le 22 novembre, le général major Gabriel Amisi Kumba de ses fonctions de chef des forces terrestres de l’armée congolaise pour raison d’enquête", rapporte Radio Okapi. Le militaire est accusé dans un rapport d’experts de l’ONU publié le 21 novembre de vendre des armes aux groupes opérant dans l’est du pays. L'armée congolaise fait face à une rébellion dans le Nord-Kivu. Après la prise de Goma, les insurgés ont poursuivi leur progression vers l'Ouest. (...)
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"Nous on est là pour les femmes
africaines en mal d'enfants"
"Nous on est là pour les femmes
africaines en mal d'enfants"
AFRIQUE
Le contrôle des naissances
n'est plus un tabou
Henry Wasswa
IPS InterPressService
(...) Charles Kayongo, en Ouganda, est père de deux filles âgées de cinq et trois ans. Et bien que les traditions séculaires dans son groupe ethnique, les Bagandas, disent qu’un homme doit avoir un nombre illimité d’enfants et un fils comme héritier, Kayongo refuse d’avoir plus d’enfants.
Dans ce pays enclavé d'Afrique de l'est, comme un nombre croissant de jeunes parents à court d’argent qui aspirent à un mode de vie moderne, il déclare que lui et sa femme, Eunice Kayongo, veulent une petite famille.
“Ça suffit. Je ne veux plus d’enfants. J’en ai discuté avec ma femme, et nous utilisons des pilules et des préservatifs depuis deux ans. Le coût de la nourriture, de l’école et des médicaments est déjà trop élevé pour moi”, déclare ce père de 33 ans, depuis sa maison dans la ville de Mukono, en périphérie de la capitale de l’Ouganda, Kampala.
Kayongo, qui possède un bar, affirme qu’il dépense 10 dollars [7,7 euros] par jour pour la famille, et qu'il gagne au total 440 dollars [339 euros] par mois. “Je suis intéressé par le planning familial parce qu’il nous aide à vivre mieux. Je ne manque pas d’aller au centre de santé avec ma femme. Je dois planifier financièrement pour ma famille”.
L’Ouganda a l’un des taux de croissance démographique (3,2% par an) les plus élevés au monde. La population totale du pays est d’environ 34 millions habitants. Un million de personnes viennent grossir la population ougandaise chaque année, mais les ressources n’augmentent pas au même rythme, souligne Anthony Bugembe, un chargé de programmes au Secrétariat de la population au ministère des Finances, de la Planification et du Développement économique.
Kayongo fait partie d’une génération émergente de jeunes maris ougandais qui commencent à défier la vieille tradition africaine selon laquelle l’on doit être le père d’un grand nombre d’enfants, et ils optent pour des familles plus petites et gérables. Lynda Birungi, du groupe national de planification familiale, ‘Reproductive Health Ouganda’, constate qu'un nombre croissant de jeunes pères s’impliquent dans le planning familial, en grande partie pour des raisons financières. Ces hommes constituent encore une minorité. Mais il y a plus de 20 ans, aucun ne venait. (...)
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Benoît Barvin
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