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Pensées pour nous-mêmes:
(LES SINGES BATIFOLENT
PENDANT QUE LES LIONS CROQUENT)
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(Déguisé en Reine du Royaume-Uni,
ce pape fit scandale)
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"Alors, ma chérie... Contente de ton pharmacien?
- Oh que oui... Il a des mains si douces..."
Faut-il
(Doit-on? Peut-on? Est-ce utile?)
vendre les médicaments
en grande surface?
LEXPRESS.fr
(...) L'UFC fonde ses propositions de "réforme de l'automédication" sur une enquête de terrain (disponible ici) menée récemment auprès de 648 pharmacies, qui a "confirmé les maux déjà diagnostiqués" lors d'une précédente enquête en 2009: "un conseil grippé, une opacité des prix et une inquiétante fièvre tarifaire". Ainsi, dans une situation d'achat en automédication de deux médicaments incompatibles (Aspirine UPSA Vitamine C et Rhinureflex, médicament contenant de l'ibuprofène), "seul un pharmacien sur deux" a indiqué spontanément l'interaction entre les deux médicaments. (...)
(...) "Cette enquête met en lumière une défaillance majeure de la part des pharmaciens sur leur obligation de conseil", a estimé Alain Bazot, président de l'UFC, pour qui "cette défaillance ramène les pharmaciens à des commerçants comme les autres". Pour le Dr Adenot, si "on ne peut pas laisser dire que tous les pharmaciens font mal leur travail", cette enquête "alerte" néanmoins la profession. "On ne peut que déplorer les chiffres qui sont donnés par cette enquête", a-t-elle réagi, s'interrogeant cependant sur la méthodologie employée.
"Nous travaillons, à l'Ordre, a améliorer les choses", a-t-elle assuré, précisant que la profession allait être soumise à une obligation annuelle de "développement professionnel continu" (ce qui veut dire?) contrôlé par l'Ordre. "Il faut sans arrêt amener les confrères vers plus de qualité, plus de sécurité", a souligné le Dr Adenot. Pour l'UFC, l'enjeu d'une "réforme de l'automédication" est double, à la fois sanitaire et financier. (...)
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"Tu vois cette pièce, ami manifestant...
Tu sais où tu peux te la mettre, hein?"
(Cet homme politique faisait dire aux morts
des choses abominablement vulgaires)
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Un compte épargne
pour financer les manifestations
Deborah Berlioz (Berlin)
(...) Ne nous épargnons pas la protestation, épargnons pour la protestation. Tel est le slogan de Jörg Rohwedder, le président de la Bewegungstiftung, la "Fondation du mouvement". Il a en effet lancé en novembre dernier une forme originale d’investissement: le 'protestsparen', soit l’épargne de protestation. L’idée est très simple. Au lieu de laisser fructifier leur argent dans une banque, les citoyens allemands peuvent le prêter à la fondation pour trois, quatre ou six ans.
La somme sera placée dans une banque "éthique et durable" et tous les intérêts reviendront à cette organisation sans but lucratif pour qu’elle finance des mouvements de protestation. A la fin, l’investisseur récupère sa mise de départ.
"Beaucoup de gens ne peuvent pas forcément faire de dons. Ils ont une certaine somme de côté mais ils se disent qu’ils pourraient en avoir besoin plus tard, où qu’ils aimeraient la laisser à leurs enfants. Pour eux ce prêt sans intérêt est une bonne forme de participation" explique Rohwedder.(...)
Suite sur:
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« Un traître est plus dangereux qu'un fou. »
Jules-Paul Tardivel
Extrait du "Pour la patrie"
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Le massacre du luxe et du prêt à porter
"made in France"
Francis JOURNOT
(...) Le 23 janvier 2012, au salon du prêt à porter Paris, Jean Pierre Mocho, Président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin depuis 12 ans et de l’Union française des industries de l’habillement pendant 6 ans, affirmait : "L'origine des produits reste secondaire pour les acheteurs". "Le consommateur est plus attaché à sa marque qu'à son lieu de fabrication. Ça ne plait pas à tout le monde, mais c'est un constat évident".
Le Député européen et ancien directeur général du CREDOC (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie), Robert Rochefort, avait alors fait remarquer à Jean Pierre Mocho : "La filière a une part de responsabilité dans le problème actuel, vous avez fait perdre au consommateur la perception de la valeur réelle, et symbolique, des produits d'habillement. De fait, le made in France, si vous n'y croyez pas vous-même, ne sert à rien", puis il avait reproché "l'usage abusif du nom "Paris" comme marque de qualité."
Il convient de souligner que Jean Pierre Mocho était en septembre 2011, le signataire d’un accord de coopération exclusif entre la France et la Chine, prévoyant notamment "la mise en œuvre d’une coopération industrielle, l’échange de stylistes, modélistes, techniciens et plus généralement d’expériences professionnelles et de formations". En clair, la livraison à la Chine de ce qu’il reste de notre savoir faire! (...)
Suite édifiante sur:
Mouvement associatif RENDEZ NOUS NOTRE INDUSTRIE !
www.rendez-nous-notre-industrie.com et www.vetements-made-in-france.com sont des associations citoyennes indépendantes et sans appartenance politique.
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Benoît Barvin
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