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Pensées pour nous-mêmes:
(QUAND ON TE LOUE,
SACHE QUE C’EST BABINES RETROUSSÉES)
Pensées pour nous-mêmes:
(QUAND ON TE LOUE,
SACHE QUE C’EST BABINES RETROUSSÉES)
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"M'enfin! On ne crache pas ainsi sur le Résident!
- C'est lui qui a commencé"
"M'enfin! On ne crache pas ainsi sur le Résident!
- C'est lui qui a commencé"
« Casse toi pôv’ con » :
le récit (imaginaire)
de l’homme insulté par Sarkozy
Cerise Simet (journaliste)
(...) Il s’appelle Yves Bouvière, il a 69 ans. Cet homme, aujourd’hui garde forestier au domaine de Chambord, est celui à qui Nicolas Sarkozy a lancé son « casse-toi pôv’ con » – en réponse à un « touche-moi pas, tu me salis » – au Salon de l’agriculture, le 23 février 2008.
Jusqu’à ce jour, Yves n’avait jamais accepté de dévoiler son identité. Aujourd’hui, il explique à Rue89 n’avoir pas supporté que le Président dise de lui, le 6 mars dans « Des paroles et des actes » sur France 2, qu’il n’avait « pas un physique agréable » :
« Il ne faut pas exagérer tout de même, il m’insulte et puis (...) il remet ça en disant que je ne suis pas beau. »(...)
D’après le témoignage d’Yves, son vif échange avec Nicolas Sarkozy n’avait rien de spontané : tout était organisé par l’Elysée.
Ce qui devait être une opération de communication destinée à faire passer le Président « bling bling » pour un chef d’Etat plus proche du peuple – et doté d’un solide sens de la répartie – a tourné au fiasco.
Selon nos informations, le scénario initial prévoyait que Nicolas Sarkozy, face à un agriculteur qui refuse de lui serrer la main, prononce quelque chose comme « une poignée de main est pourtant décisive pour juger un homme » ou « mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout ». La scène aurait dû être filmée par toutes les caméras de France mais le résultat est celui que vous connaissez. (...)
Suite de l'invraisemblable scénario
- ça tombe bien, il est faux, 1er Avril oblige - sur:
(Mais ce détournement, lui, il est vrai...
et drôle. Merci laseptiemewilaya)
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"Comment ça on n'a pas le droit d'apprendre à piloter?
Vous avez quelque chose contre les femmes
d'Azerbaïdjan, peut-être?"
"Comment ça on n'a pas le droit d'apprendre à piloter?
Vous avez quelque chose contre les femmes
d'Azerbaïdjan, peut-être?"
L'Azerbaïdjan,
le terrain d’atterrissage
secret d’Israël
Les responsables américains pensent que les Israéliens ont obtenu l’accès à des bases aériennes en Azerbaïdjan (ils n'ont donc pas de moyens techniques pour le savoir? Hum...) . Cela les rapproche-t-il d’une guerre contre l’Iran?
(...) En 2008, l’assistant chef de mission de l’ambassade américaine à Bakou, Donald Lu, avait envoyé au quartier général du département d’État à Foggy Bottom un câble titré «La symbiose discrète de l’Azerbaïdjan avec Israël». Ce mémo, publié plus tard par Wikileaks, cite le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev décrivant la relation de son pays avec l’État juif comme un iceberg. (...)
(...) Pourquoi cela importe-t-il? Parce que l’Azerbaïdjan se situe stratégiquement sur la frontière septentrionale de l’Iran et parce que selon plusieurs sources de haut rang à qui j’ai parlé au sein du gouvernement américain, des responsables de l’administration Obama pensent aujourd’hui que la partie «immergée» de l’alliance israélo-azerbaïdjanaise, la coopération militaire entre les deux pays, augmente les risques d’une attaque israélienne sur l’Iran.
En particulier, quatre diplomates et officiers de renseignement de haut rang disent que les Etats-Unis estiment désormais qu’Israël a récemment obtenu l’accès à des bases militaires à la frontière nord de l’Iran. Pour quoi faire exactement, cela n’est pas clair. «Les Israéliens ont acheté un terrain d’atterrissage», m’avait dit un responsable de l’administration Obama au début du mois de février. «Et ce terrain d’atterrissage, c’est l’Azerbaïdjan.» (...)
Suite sur:
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"Ben non, ch'suis pas
Strauss-Kahnnien.
Pourquoi cette question?"
"Ben non, ch'suis pas
Strauss-Kahnnien.
Pourquoi cette question?"
Strauss Kahn
et le "matériel" féminin
Michela Marzano
(...) Qui est vraiment Dominique Strauss-Kahn ? Après des mois de conjectures et d’interprétations, les premiers éléments objectifs pour comprendre l’anthropologie de cet homme font surface. À en croire les procès-verbaux de sa garde à vue, la conception que DSK se fait des rapports sexuels n’est pas tout à fait la même que celle des libertins, contrairement à ce qu’il a toujours affirmé.
Les femmes, plus que de simples "objets de désir" ne sont pour lui que des "bouts de viande". Mis en examen pour proxénétisme dans le cadre de l’affaire sur les parties fines à l’hôtel Carlton de Lille, l’ancien directeur du Fonds monétaire international a affirmé "n'avoir jamais eu la moindre conscience que certaines femmes rencontrées" pouvaient être des prostituées.
Mais les procès-verbaux laissent entrevoir une autre vérité, faite de milliers de SMS et de périphrases où l’on parle de mystérieux "cadeaux". Une vérité faite de "copines", de "filles" et de "petites" qui se transforment, comme par magie, en "matériel". "Veux-tu (peux-tu) venir découvrir une magnifique boîte coquine à Madrid avec moi (et du matériel) le 4 juillet ?" ou encore "Qui auras-tu dans tes bagages ?" (un vibro vivant? Chouette!). Les escort-girls ne manquaient pas, dans les fêtes et les rencontres organisées par Strauss-Kahn et Fabrice Paszkowski [un industriel et ami de Strauss-Kahn]. Au point qu’il aurait été trop long de toutes les désigner par leur prénom. Il suffit de trouver un bon synonyme. L’important est de se faire comprendre. (...)
Mais les procès-verbaux laissent entrevoir une autre vérité, faite de milliers de SMS et de périphrases où l’on parle de mystérieux "cadeaux". Une vérité faite de "copines", de "filles" et de "petites" qui se transforment, comme par magie, en "matériel". "Veux-tu (peux-tu) venir découvrir une magnifique boîte coquine à Madrid avec moi (et du matériel) le 4 juillet ?" ou encore "Qui auras-tu dans tes bagages ?" (un vibro vivant? Chouette!). Les escort-girls ne manquaient pas, dans les fêtes et les rencontres organisées par Strauss-Kahn et Fabrice Paszkowski [un industriel et ami de Strauss-Kahn]. Au point qu’il aurait été trop long de toutes les désigner par leur prénom. Il suffit de trouver un bon synonyme. L’important est de se faire comprendre. (...)
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(Journalistes - de droite mais sans étiquette -
recueillant la parole emmiellée
du candidat à la Résidence perpétuelle)
(Journalistes - de droite mais sans étiquette -
recueillant la parole emmiellée
du candidat à la Résidence perpétuelle)
UN ÉLU PS SAISIT LE CSA
POUR COMPTABILISER
LES JOURNALISTES DE DROITE
(y'en a trop, de toute façon)
(y'en a trop, de toute façon)
Grégoire Fleurot
(...) LES ÉDITORIALISTES SONT-ILS DES POLITIQUES comme les autres? Si l’UMP a été la première à soulever cette question dans la campagne, c’est aujourd’hui au tour du PS de riposter: Jérôme Impellizzieri, un conseiller régional socialiste, a saisi jeudi 29 mars le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) afin qu'il se penche sur le temps de parole d'éditorialistes«proches de la droite».
Une démarche qui répond directement à celle de Geoffroy Didier, conseiller régional UMP d'Ile-de-France, qui avait saisi deux semaines plus tôt le CSA sur «l'éventualité de comptabiliser, dans le temps de parole» du candidat socialiste François Hollande, «les interviews politiques d'Audrey Pulvar dans les médias audiovisuels». La question du temps de parole de la journalistede France Inter et de France 2, par ailleurs compagne d'Arnaud Montebourg, fait débat depuis plusieurs mois. Elle avait été suspendue d'I-télé lorsque son compagnon concourait à la primaire socialiste, et a plus récemment eu de vifs échanges avec Jean-François Copé sur le plateau de l’émission «On est pas couché», où ce dernier avait mis en doute la partialité d’Audrey Pulvar.
Geoffroy Didier avait expliqué dans la demande au CSA: «Je considère curieux qu'une journaliste qui s'est affichée devant des caméras lors d'un meeting socialiste, une rose à la main, puisse prétendre interviewer de manière équitable les candidats à l'élection présidentielle dans la mesure où son engagement pour l'un d'entre eux est publiquement assumé.»(ben, ça s'appelle le principe de déontologie, je crois) (...)
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Luc Desle
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