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Pensées pour nous-mêmes:
(TU ES LE SEUL A POUVOIR
ÊTRE TOI-MÊME.
NE TE DÉÇOIS PAS.)
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"Comment? L'ex Résident est une femme?
Et son épouse un trans?
Et c'est MAINTENANT que tu le dis?!!"
"Comment? L'ex Résident est une femme?
Et son épouse un trans?
Et c'est MAINTENANT que tu le dis?!!"
schaeffer 1926 01 mcalls 02
L'auteur du scoop du siècle,
licencié en 1945,
reçoit les excuses de son employeur
(...) L’agence de presse américaine Associated Press (AP) a présenté vendredi ses excuses posthumes à un journaliste qu’elle avait licencié parce qu’il avait brisé un embargo militaire en annonçant avant l’heure la capitulation de l’Allemagne en 1945.
Cette nouvelle, le plus gros scoop de la guerre, avait également entraîné l’expulsion du journaliste, Edward Kennedy, de l’armée américaine auprès de laquelle il était accrédité.
«C'était un jour affreux pour AP. Cette affaire a été gérée de la pire des manières», a déclaré le patron de l’agence américaine, Tom Curley.
M. Kennedy faisait partie d’un groupe de 17 journalistes présents à Reims (est de la France) le 7 mai 1945 pour couvrir la réunion lors de laquelle les forces allemandes ont signé leur reddition. Mais l’Union soviétique de Staline souhaitait que la victoire soit annoncée à Berlin, que l’Armée rouge venait de prendre quelques jours avant, et les journalistes avaient accepté d’attendre qu’une deuxième cérémonie y soit organisée avant de diffuser l’information.
Les journalistes s'étaient vus demander de retenir l’information pendant quelques heures, puis finalement 36 heures, soit jusqu'à 15H00 le 8 mai 1945, ce que le journaliste d’AP n’avait pas fait. A raison, selon le patron de l’agence de presse.
«Lorsque la guerre est terminée, on ne peut pas retenir l’information de cette manière. Le monde a besoin de savoir», a déclaré Tom Curley. (...)
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"Tousse pas à ma tuture,
messant Nikolas!"
"Tousse pas à ma tuture,
messant Nikolas!"
«Etre vieux serait
la dernière des maladies
(et être d'un parti extrême?)»
(et être d'un parti extrême?)»
ERIC FAVEREAU
Le gériatre Olivier Saint-Jean dénonce une surmédicalisation dans la prise en charge des personnes âgées depuis dix ans.
(...) /Ce qui vient de se passer autour des médicaments anti-Alzheimer - à savoir on continue de les rembourser alors que leur intérêt thérapeutique est nul -, est-ce le symbole de l’ambiguïté autour la médicalisation de la vieillesse ?
- C’est en tout cas un très bel exemple de surmédicalisation, faute de savoir penser une médecine différente pour les personnes âgées. Dans la maladie d’Alzheimer, que voit-on ? D’un côté, il y a une tendance à identifier le déficit cognitif, c’est-à-dire les pertes de la personne, puis à essayer de les compenser. De l’autre, on va multiplier les examens, les analyses, faire des ponctions lombaires, lancer des IRM à la recherche d’éventuels marqueurs de maladie. Cela peut avoir du sens en matière de recherche, mais cela ne change en rien la prise en charge de ces malades. Tout cela n’a pas de sens, sauf celui de satisfaire cette logique biomédicale sur la vieillesse qui cherche à s’imposer.
/Mais d’où vient cette logique ?
- Schématiquement, pendant longtemps, quand ils perdaient la tête, les vieux étaient considérés comme séniles ou gâteux. C’était bien sûr péjoratif, mais ils restaient dans la logique du monde des vivants. Dans les années 70, les vieux déments ont été enfermés dans des services de long séjour, et aujourd’hui, disons depuis dix ans, on cherche à transformer la vieillesse en la saucissonnant, en la faisant entrer dans des catégories médicales. Etre vieux serait la dernière des maladies. Sur le moment, cette évolution a pu être positive, car elle redonnait de la dignité à la personne âgée. Mais une partie du corps médical n’a pas su s’arrêter. Elle continue, elle essaye désespérément de faire de la médecine, qui plus est de pointe.
Comme dans le cas de la maladie d’Alzheimer, où l’on a donné des médicaments comme ça, parce qu’il faut bien donner quelque chose pour faire de la médecine. Il y avait ce désir d’intervenir, même si on se doutait que cela ne servait pas à grand-chose. En somme, après leur avoir refusé les soins, on a donné accès aux malades âgés à des thérapeutiques très pointues, on leur a même ouvert la possibilité d’aller dans les services de pointe des hôpitaux. (...)
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"Tu te rends compte? Quand on travaille,
on peut être payé...
- On doit?
- Il ne faut pas exagérer, quand même..."
"Tu te rends compte? Quand on travaille,
on peut être payé...
- On doit?
- Il ne faut pas exagérer, quand même..."
Egalité salariale:
plein de lois pour si peu de résultats
Clémence Helfter
(...) Aujourd’hui en France, les salaires des femmes sont en moyenne inférieurs de 27% à ceux des hommes et de 19% inférieurs en équivalent temps plein (c’est-à-dire une fois neutralisé le temps partiel, majoritairement féminin —83% des salariés à temps partiel sont des femmes et 30% des femmes en emploi sont à temps partiel contre 6% des hommes).
Comment se fait-il qu’on en soit toujours là aujourd’hui ? La question se pose en effet quand on sait que notre arsenal législatif et réglementaire n’est pourtant pas indigent en la matière. Citons simplement trois des principales lois qui ont été votées depuis le début des années 1980 pour réduire les écarts de salaires entre hommes et femmes :
La loi dite Roudy de 1983 rend obligatoire la production d’un rapport de situation comparée (RSC) entre les femmes et les hommes dans les entreprises en matière d’emploi et de formation ; elle introduit en outre la possibilité de signer des plans d’égalité, de prévoir des mesures de rattrapages provisoires en faveur des femmes ;
La loi dite « Génisson » de 2001 impose désormais que les RSC comprennent des indicateurs chiffrés et précisément définis par décret (entre autres: positionnement dans l’entreprise, rémunération selon les catégories, promotions) et qu’une commission de l’égalité femmes-hommes (ou commission égalité professionnelle) soit créée dans chaque comité d’entreprise ;
La loi relative à l’égalité salariale du 23 mars 2006 renforce l’obligation de négocier sur l’égalité professionnelle par une obligation de négocier des mesures de suppression des écarts de rémunération avant le 31 décembre 2010.
Les inégalités salariales perdurent aujourd’hui car non seulement cet arsenal n’est pas appliqué mais quand bien même il le serait, il n’est pas de nature à permettre la suppression des écarts de salaires femmes-hommes. Autant dire tout de suite que l’égalité salariale femmes-hommes n’est pas un objectif à atteindre, ça aura au moins le mérite d’être honnête. (...)
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(Décidément, en Grèce, les affaires n'allaient pas fort)
A ROMAN MARBLE STATUE.
GREGORY MUENZEN
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Luc Desle
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