Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

mercredi 8 janvier 2014

"Je demandai à l'orage de cesser de gronder". Jacques Damboise in "Pensées inconvénientes".

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Pensées pour nous-mêmes:

(LE BONHEUR N'A PAS DE SAISONS)

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(Une de ces deux soeurs venait de sortir de l'asile.
Sauriez-vous dire laquelle?)


COCOROSIE
MODZIK MAGAZINE

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(Membres de la CIA travaillant incognito
pour la présidence Colombienne)



Uribe a été aidé par la CIA
pour combattre les Farc

   L'ex-président très controversé Alvaro Uribe (2002-2010) a confirmé avoir été aidé par la CIA pour "localiser les chefs guérilleros" abattus par l'armée sous son gouvernement, rapporte El Tiempo. Il a fait cette déclaration sur son compte Twitter, suite à un long article du Washington Post qui révèle que l'organisme américain a consacré un fond secret de près de 9 milliards de dollars dès les années 2000 dans un programme destiné à éliminer les dirigeants guérilleros en Colombie, notamment en fournissant des bombes télédirigées. 

   Uribe précise toutefois que les opérations militaires contre les dirigeants des Farc se sont faites "avec des hommes et des équipements [colombiens]". D'après le Washington Post, les Etats-Unis avaient installé une unité d'espionnage dans l'ambassade américaine à Bogotá, qui suivait les déplacements des rebelles grâce à des images satellites. Les informations recueillies étaient ensuite transmises aux autorités colombiennes. 

   L'opération la plus spectaculaire et la plus polémique avait été un bombardement en territoire équatorien effectué par l'armée colombienne qui avait coûté la vie au numéro 2 des FARC, Raúl Reyes, en mars 2008.

   Après la publication de ces informations, le président de l'Equateur, Rafael Correa, a qualifié ces faits de "gravissimes" et a mis en garde contre la possibilité que "derrière ces révélations peuvent se cacher des intérêts contraires au processus de paix que négocient les Farc et le gouvernement colombien à La Havane, depuis plus d'un an", explique El Tiempo.


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(Cette jeune femme, chaude comme la braise,
était une amie des plus dangereuses pour
ce benêt de Bonhomme de neige)



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Benoît Barvin

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