Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.
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lundi 23 décembre 2013

"Le plombier que je plombai, mon épouse couchait avec lui". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet".

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Pensées pour nous-mêmes:

(LE DISCIPLE N'EST QU'ACTION)

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(Les riveteurs avaient bien du mal à faire tenir les parois 
contenant la Mondialisation Bienheureuse)


"Riveteur  au chantier naval de l'île Hog" par Kadel et Herbert, près de Philadelphie, Pennsylvanie, 1918. Au cours de la Première Guerre mondiale, l'île Hog était le plus grand chantier naval au monde. À son apogée, l'endroit employait plus de 30 000 ouvriers qui ont construit 122 navires en 2 ans. Les travailleurs de Hog Island avaient leur propre restaurant, leur ligne de tramway, et ont publié leur propre journal," Les Nouvellesde  Hog Island".


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(Maîtres du Monde riant à la blague
 concernant l'éthique et la morale)



 Bill Gates et  (feu) Steve Jobs ...

Microsoft et l’UE, 
un mariage de vingt ans


  (...) Les révélations, publiées récemment par Mediapart, sur le piratage dont a été la cible le service de messagerie du Parlement européen auraient pu être l'occasion d'une remise à plat de la sécurité informatique des institutions européennes.

   Difficile d'imaginer moment mieux choisi. Pressée par des députés et des associations qui demandent depuis des années l'abandon des contrats les liant à Microsoft, confrontée aux révélations d'Edward Snowden sur le dispositif d'espionnage mondial mis en place par les Etats-Unis, ces institutions ont désormais la preuve de la facilité avec laquelle il est possible de s'introduire dans un service de messagerie. L'an prochain, la Commission européenne, qui contracte pour l'ensemble des institutions de l'Union, aura l'occasion de renégocier ses contrats passés avec le géant américain du logiciel, son principal fournisseur depuis vingt ans.

   Pour l'instant, la Commission européenne fait la sourde oreille et ne veut pas voir de problème de fond, limitant le piratage du Parlement européen à un simple problème "technique". Interrogé par Mediapart sur ses motivations, le hacker avait pourtant insisté sur la dimension politique de son acte. Il ne s'agissait pas de s'attaquer à un logiciel en particulier. Outré par le manque de réaction des responsables politiques face au scandale Prism, il voulait "les secouer un peu" pour "améliorer la prise de conscience" et, "qui sait, améliorer les choses pour le prochain mandat".

   Or c'est à cette même Commission européenne que reviendra la charge de négocier avec Microsoft ses deux principaux contrats arrivant à échéance en 2014. Pourtant, depuis 1993, la firme fondée par Bill Gates a réussi à rester le principal partenaire des institutions européennes. L'alliance a été reconduite à six reprises, sans aucune concurrence, car précédée d'aucun appel d’offres !(...)

   (...) La passation de marchés publics est pourtant encadrée par un "règlement financier" qui prévoit, par défaut, que tout contrat doit au préalable faire l’objet d’une mise en concurrence. Mais les textes prévoient également certaines dérogations permettant à la Commission de choisir directement une entreprise, dans le cadre d’une "procédure négociée", notamment lorsque celle-ci est capable de répondre à elle seule à l’ensemble de la demande. Et jusqu’à présent, Microsoft s’est toujours arrangé pour bénéficier de l’une de ces "procédures négociées".

   Dans les années 1990, le principal argument avancé pour ce régime de faveur était que la société américaine était quasiment la seule sur son marché. Puis, au fur et à mesure qu’apparaissaient de potentielles alternatives, la commission a commencé à justifier son choix par le fait que changer de fournisseur coûterait trop cher et serait trop compliqué techniquement à mettre en place.

   (...) Ce dernier argument est justement celui avancé par les défenseurs du logiciel libre, c’est-à-dire ouvert et ne dépendant d’aucune licence propriétaire, qui réclament une véritable rupture avec le système actuel."En fait, ce qu’ils disent, c’est ‘nous ne pouvons rien acheter d’autre que du Microsoft car ça serait trop compliqué à faire fonctionner’. Et cela nous mène à la question du ‘lockin’, de l’enfermement", explique Karsten Gerloff, président de la Free Software Foundation Europe (FSFE). (...)

   Ce quasi-monopole de Microsoft est d’autant plus étrange que les institutions européennes n’ont de cesse de vanter non seulement les vertus de la concurrence et la nécessité de marchés publics transparents, mais aussi les mérites des logiciels libres. De plus, les différentes équipes techniques semblent avoir pleinement conscience des enjeux.

   Il existe ainsi, au sein du Parlement européen, une association des utilisateurs de logiciels libres, l’EPFSUG, qui travaille en collaboration avec la direction des services informatiques (DIGIT). Par ailleurs, les institutions européennes ont déjà mis en place plusieurs projets de logiciel, comme "AT4AM" permettant de gérer les amendements. De son côté, la Commission a bien mis en place, en 2011, une "stratégie pour l’usage interne des logiciels libres" sous la forme d’une déclaration d’intentions. Mais le document, qui s’arrête en 2013, n’a pour l’instant pas été mis à jour.

   Les députés n’ont de cesse de questionner leur administration sur la question. En 2012, le Parlement a demandé des explications sur l’utilisation des logiciels libres à l’occasion du vote de la décharge, c’est-à-dire le contrôle du budget pour l’année 2011, durant laquelle ont été conclus les derniers contrats avec Microsoft. Depuis, le groupe Vert se bat pour obtenir des explications. (...)

   (...) Les détails mêmes des contrats passés avec Microsoft en 2011 n’ont pas été rendus publics. "Ce qu’ils disent, c’est qu’ils ne peuvent pas donner les détails du contrat car cela violerait les intérêts commerciaux de Microsoft", explique Karsten Gerloff. "Personnellement, en tant que citoyen, je me moque des intérêts commerciaux de Microsoft. Ce qui m’intéresse, en tant que contribuable, ce sont les intérêts des institutions européennes, de savoir où va mon argent, s’il est utilisé d’une manière efficace ou non. Or, la tendance est plutôt à conserver les contrats de fourniture secrets."(...)

   (...) A ce jour, la Commission européenne est liée à Microsoft par deux contrats. Le premier, passé via un fournisseur du nom de Fujitsu, est celui portant directement sur la fourniture des logiciels pour un montant de 50 millions d’euros. Le second, signé directement avec Microsoft pour un montant de 44,7 millions d’euros, porte lui sur le "support", c’est-à-dire l’entretien des logiciels vendus.

   Or, ces deux contrats arrivent tous deux à échéance l’année prochaine. La Commission se décidera-t-elle à sauter le pas du logiciel libre en remettant en cause sa dépendance vis-à-vis de Microsoft ?

   Interrogée par Mediapart sur son intention de lancer, ou non, un appel d'offres, la Commission refuse pour l'instant de se prononcer. Elle rappelle que "ses décisions dans le domaine du choix des logiciels, d’une part, respectent toujours pleinement la législation applicable en matière de marchés publics et, d’autre part, sont basées sur des analyses coût-bénéfice visant à déterminer le coût total de possession (et les risques) de chaque alternative". (...)


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(Les trois serveuses de ce bar
avaient des hauts et des bas)





Jack Cole

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Luc Desle

lundi 10 juin 2013

"Le fils du Pétomane rotait sans arrêt". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet".

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Pensées pour nous-mêmes:

(LE MONDE NE T'APPARTIENT PAS

MAIS IL T'APPARTIENT DE LE RESPECTER)

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LONG RÉCIT AU LONG COURS (1/33)
pcc Benoît Barvin et Blanche Baptiste


   Angélus Galin décide de disparaître. En l'apprenant, sa soeur ne réalise pas qu'il s'agit d'un subterfuge...

ANGÉLUS 
ou 
LES SECRETS DE L’IMPALPABLE


Johannes"Vermeer "The Lacemaker"


   Angélus, lui, ne connaissait pas ces états d’âme. On eût dit que sa dernière déconvenue lui avait ouvert les yeux à tout jamais sur la condition humaine. En arrivant à Rodez, il attendait des autres une aide et un soutien moral. Maintenant, il n’espérait plus rien de personne. Il avait un objectif à atteindre, une passion à assouvir et plus rien ni personne ne l’arrêteraient.

   A Nîmes il dépensa l’argent qui lui restait en achetant un sac de voyage, des vêtements de rechange et un billet pour Avignon. Lorsque la diligence passa par l’octroi, elle fut soumise à un contrôle et tous les voyageurs durent décliner leur identité. Angélus put constater combien ses fausses écritures faisaient illusion, de même que ses habits choisis avec soin et le léger accent avec lequel il parlait le français. 

   Ses compagnons de voyage semblèrent apprécier la compagnie de ce jeune homme aux allures délicates et à l’intelligence vive, promis certainement au plus bel avenir, à en croire les cicatrices laissées par une expérience de laboratoire malheureuse, alors même qu’il étudiait les propriétés volatiles d’une crème de sa composition.

   Il se trouvait parmi les voyageurs un niçois, fabricant de savons et de produits cosmétiques, qui voulut en savoir plus long. S’ensuivit une discussion passionnée dans laquelle Angélus se montra si féru en matière de lotions, de baumes et autres spécialités existant sur le marché, que son interlocuteur lui demanda comment il avait pu accumuler, si jeune, une telle science. 

   Ce à quoi Angélus répondit qu’il avait eu le privilège de travailler en Italie chez Maître Pavèse, pour qui il avait été apprenti et également courtier et, qu’ainsi, il connaissait une multitude de choses dans ce domaine. Il ajouta que, de plus, il envisageait la mise sur le marché de crèmes révolutionnaires dont il avait déjà les recettes mais, hélas, pas les moyens de les fabriquer à grande échelle. 

   Le bonhomme, dont le commerce était en pleine expansion mais qui souffrait de la concurrence des parfumeries grassoises et des innovations incessantes dont étaient capables des groupes de chercheurs plus fortunés que lui, eut tout à coup la très nette certitude que ce garçon aux yeux d’un bleu-vert perçant détenait la formule capable, et de les enrichir formidablement, et d’assurer la renommée de la maison Fumel.

   C’est ainsi qu’Angélus se retrouva, après une escale en Avignon, sur les hauteurs de Nice, dans la propriété de monsieur Fumel, où celui-ci mit à sa disposition un petit laboratoire à l’abri des regards indiscrets, la fabrique proprement dite se trouvant juste au bord du Paillon.

   Angélus, que les dernières épreuves avaient quelque peu endurci, se sentit merveilleusement bien dans cet environnement lumineux, avec en fond visuel le velours bleu de la mer. Dans un coin de l’officine était aménagée une alcôve avec un lit dont les draps étaient plus doux que de la soie. Il flottait dans ces deux pièces des parfums rares qui finissaient d’enchanter le jeune homme, déjà comblé par toutes les manipulations qu’il faisait dans la journée. 

   Car il s’était mis tout de suite au travail. A la fois pour honorer son contrat, ses appointements seraient de vingt francs par jour, avec un pourcentage sur les ventes, sous réserve de fournir régulièrement des produits susceptibles de séduire la clientèle. A la fois aussi, parce qu’il avait hâte de pouvoir commencer à soigner sa peau et sa main insensible. 

   Son but premier était de remplacer les tissus définitivement lésés par des tissus intacts, comme on peut le faire actuellement à l’aide de greffes, mais sans avoir recours à ces prélèvements. Non pas qu’il n’en ait pas conçu l’idée, mais il pensait à juste titre qu’il ne parviendrait pas, faute de produits adéquats, à faire en sorte que la greffe puisse tenir sans subir de rejets. Son idée était plutôt de se servir de molécules végétales auxquelles il induirait un processus de développement similaire en tout point à celui d’un receveur. Du choix de ces molécules dépendait son succès.

   Monsieur Fumel dut lui fournir de l’eau des sources du Mont Lacaune et quantité de fleurs fraîches, ce qui se révéla assez difficile en ce début d’automne. Fort heureusement la région était riche en serres et Angélus put obtenir des variétés dont il ne connaissait jusqu’alors que le nom, le descriptif et les propriétés. 

   Déjà, avec ces produits savamment dosés et mélangés, il fabriqua une crème d’une grande délicatesse, à laquelle il mêla un soupçon d’opiat et des essences de vigne-vierge. Il la baptisa « Peau d’âme ». Ainsi, monsieur Fumel, rassuré au sujet des capacités de son employé, pourrait le laisser continuer ses recherches.

   La boutique se trouvait rue Masséna et elle voyait défiler toutes les dames en villégiature sur la Côte. A cette époque, c’était surtout des Anglaises et des Parisiennes qui fréquentaient la région, réputée pour son climat tempéré et son arrière-saison très reposante. 

   Ces dames, toujours à l’affût d’une nouveauté, s’empressèrent d’essayer « Peau d’âme », la seule crème capable d’estomper les rides de manière efficace et de donner à la peau un velouté incomparable. Les vendeuses avaient reçu comme consigne de ne proposer ce produit qu’à certaines clientes, afin d’opérer un effet de curiosité chez celles qui ne le connaissaient pas encore. De sorte que la publicité se fit toute seule. 

   Les femmes se vantèrent auprès de leurs amies d’avoir trouvé une crème merveilleuse et ces dernières voulurent, elles aussi, en profiter. A ce train-là, en deux mois, la fabrique risquait d’être en rupture de stock car, compte tenu de la saison, les matières premières n’étaient pas toutes disponibles. 

   Alors Angélus, qui connaissait parfaitement la composition de chaque plante, se mit, bien avant les autres chimistes, à élaborer les produits de synthèse correspondant aux ingrédients de « Peau d’âme ». Le résultat qu’il obtint fut à la hauteur de ses espérances, et il put ainsi gagner un temps précieux qu’il employa à ses recherches personnelles.

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(A Suivre)

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"Mais enfin, vous voyez bien que je ne porte pas de soutien-gorge!"



Féministes seins nus Berlusconi Reuters
europe1.fr

Chine : 
le bac, c'est sans soutien-gorge
Claire Maupas

   (...) La consigne est claire : le port du soutien-gorge à attaches métalliques est interdit pendant l’examen. Pas question de déclencher l’alarme. Dans la Province de Jilin, cette année, tous les candidats au gaokao - le bac chinois - sont passés au détecteur de métal. 

   Objectif : épingler les tricheurs dissimulant des gadgets hi-tech destinés à la fraude. Pour faciliter les contrôles, les élèves doivent porter des pantalons avec élastique et non à braguette, ainsi que des chaussures sans œillets métalliques, rapporte le Global Times

   Les porteurs de pacemakers doivent produire un certificat émanant d’hôpitaux homologués. Oreillettes, récepteurs sans fils, stylos, montres, lunettes et ceintures truquées ... Selon le Quotidien du Peuple, plus de 60 000 engins électroniques ont été saisis en Chine l’an dernier. En matière d’antisèches, les affaires sont juteuses et l’inventivité sans borne, comme le montre la photo de cette règle avec écran intégré reprise par le siteTechinAsia.

   La pression est forte au pays des enfants uniques. Parfois ce sont les enseignants qui dérapent. En 2009, des professeurs de Songyuan ont été arrêtés pour avoir vendu des équipements sans fil destinés à la fraude à leurs élèves. Plus de 9 millions de jeunes Chinois passent l’examen national d’entrée à l’Université les 7 et 8 juin. (...)
Lire sur:


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(Vivant, le propriétaire de ce squelette
était déjà très religieux)



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(L'Oeil était dans le Net et regardait la Terre)

Espionnage : 
Google, Facebook, Microsoft, Apple, Yahoo, Skype … 
sont en collaboration avec des services secrets de différents pays

   (...) C’est maintenant confirmé. Et pourtant c’est un fait bien connu dans le milieu des TIC. Mais certains internautes doutaient de l’utilisation de leurs données par des services secrets. 

   "Les renseignements recueillis en vertu de ce programme sont l'une des informations les plus importantes et précieuses intelligence que nous recueillons, et sont utilisés pour protéger notre nation à partir d'une grande variété de menaces ".Voilà les mots du directeur du renseignement national aux Etats-Unis, James Clapper, en confirmant l’existence de ce programme top secret dont le code est Prism. (...)

   (...) The Guardian a reçu des documents de ce programme. En effet, c’est une opération "d'espionnage" qui a donné à la NSA (Agence de sécurité nationale) et le FBI d'accéder facilement aux systèmes de neuf des plus grandes compagnies de l'Internet au monde. Le groupe comprend Google, Facebook, Microsoft, Apple, Yahoo, Skype, YouTube, AOL, PalTalk, etc.

   Donc, toutes ces grandes entreprises du web ont permis aux services secrets d’intercepter et d’utiliser les données de millions de clients via des communications par audio, e-mail, messagerie instantanée, photo,vidéo, transfert de fichiers, profils, etc . La NSA puise directement ces infos dans les serveurs de ces géants du web qui sont basés aux Etats-Unis.

   Selon l’article publié par The Guardian, cette loi sur la surveillance américaine existe depuis la présidence de George W. Bush, en 2007, et renouvelée sous Barack Obama en décembre 2012. " Le Prism a été créé en Décembre 2007 afin de fournir une surveillance en profondeur sur les communications en direct et des informations stockées sur les étrangers d'outre-mer. La loi permet le ciblage de tous les clients des entreprises participantes qui vivent à l'extérieur des États-Unis, ou les Américains dont les communications incluent les personnes hors Etats-Unis."

   Maintenant, c’est l’heure des démentis pour ces grandes entreprises et des explications du côté du gouvernement américain, après cette fuite, scandaleuse, pour ces internautes qui ignoraient ou ne croyaient pas à cette utilisation anormale, sans autorisation, de leurs données sur la toile. 

   Le fondateur de Facebbook, Mark Zuckerberg dément . D’après lui "Facebook ne fait pas partie de tout programme visant à donner aux États-Unis ou tout autre gouvernement un accès direct à nos serveurs. Nous n'avions même pas entendu parler de PRISM jusqu’à avant-hier (of course) […] Nous allons continuer à lutter énergiquement pour garder vos informations en toute sécurité. Nous encourageons vivement tous les gouvernements à être plus transparents dans tous les programmes visant à maintenir la sécurité publique. C'est la seule façon de protéger les libertés civiles de chacun et de créer la société sûre et libre que nous voulons tous sur le long terme."

   Toujours d’après le quotidien britannique, dans sa déclaration Google indique qu’il se soucie profondément de la sécurité des données des utilisateurs. "Nous divulguons des données de l'utilisateur au gouvernement en conformité avec la loi, et nous examinons toutes les demandes avec soin. […] mais Google n'a pas de porte arrière pour le gouvernement d'accéder aux données privées de l'utilisateur ". (...)

   Quant à Apple, il dit n’avoir jamais entendu parler de Prism. « S'ils font cela, ils le font à notre insu. » La Maison blanche a aussi démenti mais confirme que c’était indispensable à la lutte antiterroriste. De toute façon, La NSA décrit Prism comme "l'un des accès les plus précieux, unique et productive" de l'intelligence, et vante le service qui a été mis à la disposition des organisations d'espionnage d'autres pays.

   Par conséquent, aujourd’hui c’est aux internautes de prendre conscience de ce fait que beaucoup parmi nous ignoraient. (...)



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Luc Desle