Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

lundi 24 septembre 2012

"Dans cette banlieue chic, on arborait des coups de poing américains en or massif". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pet".

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Pensées à vous-mêmes:

(ENSEMENCE LA TERRE
DE TON IMAGINATION)

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(Ces lapins OGM étaient plus résistants qu'avant)


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"Manger des enfants britanniques?
Vous voulez que je meure de faim?"
The Hungry Lion Children's 
Book Vintage 1960s Whitman Tell A Tale 

Vu d'Inde, 
les enfants britanniques ont faim
Hasan Suroor 

   (...) Alors que le Royaume-Uni se flatte d'être la septième puissance économique mondiale et d'envoyer des milliards d'euros d'aide à d'autres pays, dont l'Inde, certains s'interrogent: que fait-on pour lutter contre la pauvreté au Royaume-Uni, où un nombre croissant de personnes souffrent de la faim, du chômage et de l'absence de logements ?

   Signe de la gravité de la situation après quatre dures années de récession, l'ONG Save the Children – réputée pour son travail en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud – lance pour la première fois un appel national pour venir en aide aux pauvres du Royaume-Uni, qui se voient infliger une sorte de double peine avec une récession économique doublée d'un plan de rigueur gouvernemental très controversé.

   Dans cette campagne, signée du slogan "It shouldn't happen here" [cela ne devrait pas arriver ici], l'ONG révèle que le Royaume-Uni abrite près de 3,5 millions d'enfants pauvres, dont 1,6 million vivraient dans une extrême pauvreté.

   "Il est inacceptable de voir qu'en 2012, des familles vivant au Royaume-Uni doivent se priver de biens essentiels, notamment alimentaires, ou se retrouver criblées de dettes uniquement pour subvenir à leurs besoins quotidiens", déclare l'organisation humanitaire en soulignant que les enfants les plus pauvres sont les premières victimes de la récession économique. (...)
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"Moi, j'ai faim de rêves, pas vous?"

Cannagirl

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"Ainsi, c'est que mangent les condamnés à mort
avant de griller sur la chaise électrique?
- Tout à fait"


(Qu'est-ce qu'il ne fallait pas faire
pour emballer les filles
dans les années 50...)

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Le dernier repas des condamnés 
à mort américains est hypercalorique

   (...) (L)es auteurs (de l'étude) y analysent le contenu de 193 derniers repas commandés par des condamnés à mort entre 2002 et 2006. Conclusion: le nombre moyen de calories est de 2.756, alors que le niveau quotidien recommandé pour un adulte entre 30 et 40 ans est de 2.200 à 2.400, et les fruits et légumes sont largement négligés au profit des graisses et des sucres.

   «Par exemple, un condamné a demandé douze morceaux de poulet frit, deux petits pains ronds avec du beurre, deux sodas, 50 cl de glace à la fraise, 50 cl de glace à la vanille et de la purée de pommes de terre avec de la sauce brune», écrivent les auteurs.

   83,9% des condamnés ont demandé de la viande ou du poisson (la viande la plus demandée était le poulet, suivie d’un hamburger, d’un steak, de porc ou de bacon et enfin de poisson), 67,9% de la friture (notamment des frites) et 66,3% un dessert. Les auteurs notent aussi avec surprise que trois personnes ont demandé du Coca… light.

   Les chercheurs relient cette «surconsommation» au comportement alimentaire plus général des humains quand ils sont placés dans une situation de stress, citant des exemples aussi différents que les New-Yorkais après le 11-Septembre ou les étudiants loin de leurs parents.«A certains égards, cela pourrait être une façon d'abaisser le niveau de stress et d'angoisse à quelque chose d'un petit peu plus gérable», expliquait fin août Brian Wansink à l’agence américaine Sipa.

   Les trois chercheurs reconnaissent cependant que leur étude laisse dans l’ombre plusieurs points: ils n’ont pas pu consulter le régime alimentaire habituel des condamnés en question, et n’ont pu prendre connaissance que de ce qu’ils ont commandé pour leur dernier repas, pas de ce qu’ils ont vraiment consommé. (...)

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Luc Desle

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