Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.
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vendredi 23 novembre 2012

"Cet accent aigu faisait mal aux oreilles". Benoît Barvin in "Pensées inconvénientes"

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Pensées pour nous-mêmes:

(L'ENFANT QUE TU N'ES PLUS
OU DONC SE CACHE-T-IL?)

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"La... lalala... Moi je fais l'équilibriste...
- Fais gaffe, tu vas te prendre une gamelle..."


(A-t-on besoin de parler de la prescience du Peuple Noir
et où ce jeune garçon a été enterré?)

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"C'est... kof, kof... pour ton bien...
- Oui... kof, kof... pour ton bien..."


Vaccins : 
devrait-on avoir le choix ?
(quel titre!)

ALEXANDRA BOGAERT

   (...) « C’est comme si j’avais été battue, rouée de coups, laissée pour morte. » Suzette Fernandes-Pires, 52 ans, a vécu un enfer qui a « détruit » sa vie. Suzette est atteinte d’une maladie au nom aussi barbare que les douleurs qu’elle fait endurer à ceux qui la contractent: la myofasciite à macrophages. Cette inflammation grave des muscles qui se traduit par un épuisement chronique, des douleurs musculaires et articulaires très fortes et des troubles de la mémoire, serait la conséquence de l’hydroxyde d’aluminium présent, comme adjuvant, dans un certain nombre de vaccins (60% de ceux présents sur le marché en contiennent).

   Suzette avait 36 ans en 1996 quand elle a répondu à la grande campagne de vaccination nationale. Rappels de DT Polyo, hépatite A et B, elle a tout refait. « Deux mois après, je suis tombée malade. J’avais de fortes douleurs aux membres et une grande fatigue, jusqu’à une crise en 1997. » Paralysée par la souffrance, cette infirmière vétérinaire à Maisons-Alfort erre de médecin en médecin. Jusqu’à ce que, enfin, le diagnostic tombe. C’était en 2000. (...)

   Son organisme a de grandes difficultés à digérer les particules d’hydroxyde d’aluminium contenues dans les vaccins qu’on lui a injectés dans les muscles, particules qui sont captées par les macrophages. Ces grosses cellules qui jouent le rôle d’éboueurs de l’organisme ont pour propriétés de pouvoir circuler partout dans le corps et d’englober les particules avant de les détruire. Sauf que, dans le cas précis de l’hydroxyde d’aluminium, le macrophage est rendu immortel tant qu’il n’a pas réussi à éliminer la particule.

   Ainsi squattés, les macrophages se baladent dans l’organisme pendant des mois après l’injection, voire pendant des années. « Quand ils finissent par pénétrer dans le cerveau, où ils s’accumulent progressivement, ils provoquent des perturbations suffisantes pour induire un syndrome de fatigue chronique », expose le professeur Romain Gherardi, de l’hôpital Henri Mondor de Créteil.

   Avec son équipe de l’Inserm (l’Institut national de la santé et de la recherche médicale), ce spécialiste des maladies neuromusculaires est celui qui a identifié, dans les années 1990, cette nouvelle pathologie qui affecte une personne sur 10 000. « Il n’y a plus aucun doute sur la relation directe entre l’hydroxyde et les lésions musculaires et cérébrales », avance Romain Gherardi qui fait l’hypothèse que la myofasciite à macrophages touche des personnes génétiquement prédisposées pour mal digérer les sels d’aluminium. (Ben alors, oui, on doit avoir le choix de se faire ou non vacciner... ) (...)
Lire l'article sur:


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(Le syndrome de la chaise vide,
dans ce hameau, était patent)



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"Du sang, du labeur...
- Des larmes et de la sueur...
- Da... Da..."


Pas de sacrifices sans espoir !

Michael Marder
PROJECT SYNDICATE PRAGUE

   (...) Le président français François Hollande a récemment souligné l’idée essentielle, pourtant souvent occultée, selon laquelle il y aurait des limites au degré de sacrifice qui peut être demandé aux citoyens des pays du sud de l’Europe en difficulté financière. Afin d’éviter de transformer la Grèce, le Portugal et l’Espagne en véritables "maisons de correction" collectives, a-t-il fait valoir, les peuples ont besoin d’espoir, au-delà des perpétuels horizons lointains de réduction des dépenses et de mesures d’austérité. Les notions de psychologie les plus élémentaires appuient le point de vue de Hollande. Renforcement négatif et report répété des retours positifs ne peuvent aboutir à un objectif qu’à condition de la perception d’une lueur au bout du tunnel – la récompense future des sacrifices d’au­jour­d’hui.

   Le pessimisme public régnant en Europe du Sud est en grande partie attribuable à l’absence d’une telle récompense. Tandis que la confiance déclinante des consommateurs et le pouvoir d’achat des ménages aggravent la récession, les prévisions de fin de crise sont sans cesse repoussées, et les peuples soumis au fardeau de l’austérité en arrivent à perdre espoir.(...) 

   (...) Tout au long de l’histoire, le concept de sacrifice a mêlé théologie et économie (ben voyons...). Dans le monde antique, les peuples procédaient à des offrandes souvent sanglantes auprès des divinités, dont ils pensaient qu’elles les récompenseraient au travers, par exemple, de bonnes récoltes ou d’une protection contre le malheur. Le christianisme, et sa croyance selon laquelle Dieu (ou le fils de Dieu) se serait sacrifié afin d’expier les péchés de l’humanité, a inversé l’économie traditionnelle du sacrifice. Ici, la souffrance divine constitue une illustration de l’humilité désintéressée avec laquelle les mésaventures terrestres devraient être endurées (re Ben voyons...).

   Malgré la sécularisation, la croyance selon laquelle récompenses ou accomplissements exigeraient un sacrifice est devenue partie intégrante de la conscience culturelle européenne. Le concept de "contrat social" – apparu au siècle des Lumières afin d’appréhender, sans recours au droit divin, la légitimité de l’autorité de l’Etat sur ses citoyens – repose sur le postulat selon lequel les individus renonceraient à un certain degré de liberté personnelle dans le but de garantir paix et prospérité pour tous (quel degré? Quelle paix? Quelle prospérité?).

   Ainsi, les dirigeants politiques ont souvent demandé aux citoyens de sacrifier libertés personnelles et confort au nom d’entités spirituelles sécularisées, telles que la nation ou l’Etat – requête à laquelle les citoyens ont très largement accédé. Dans son premier discours à la Chambre des communes en tant que premier ministre du Royaume-Uni, Winston Churchill avait inspiré l’espoir d’un pays assiégé au travers de sa déclaration célèbre affirmant que lui – et donc l’Angleterre – n’avait "rien à offrir, que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur". (...)

Lire la suite sur:

http://www.presseurop.eu/fr/content/article/3040151-pas-de-sacrifices-sans-espoir
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Benoît Barvin (avec l'appui de Jacques Damboise)

jeudi 2 février 2012

"Ce tord-boyaux le faisait avec classe". Benoît Barvin in "Pensées pensées".

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Pensées pour nous-mêmes:

(ENIVRE-TOI DE L'AIR QUE TU RESPIRES)

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"En quel... hips... état j'erre...
- Toi, l'rosbif, t'es complètement paf!
- Yes, indeed...
Et ça va durer quelques siècles..."

José Bové: "Notre vrai problème 
ce sont les Etats"
Julien Vlassenbroek 
entrevue (extraits)

   (...) Il faut (...) sortir du modèle économique qui prévaut actuellement en Europe et dans le monde. Modèle économique où "pour pouvoir gagner de la croissance, il faut conquérir des parts de marché".
   "On est dans un monde fini" aux ressources et aux matières premières"limitées" rappelle le célèbre fumeur de pipe (qu'est-ce que ça vient faire dans l'argumentaire?). Il n’est donc matériellement plus possible de poursuivre avec le modèle actuel d’après José Bové. "Il est évident que c’est maintenant qu’il faut changer de modèle", affirme-t-il haut et fort.
   Mais pour y mettre quoi à la place ? Il faut se diriger vers "une alternative qui permet de mieux organiser la société, de lutter contre le réchauffement climatique", estime le syndicaliste agricole (et fumeur de pipe?).
   "C’est comme cela qu’on va créer de l’emploi non délocalisable: en investissant massivement dans les énergies renouvelables, dans le bâtiment, l’isolation, des nouveaux modes de transport, des nouveaux modes d’agriculture, dans les énergies renouvelables…", énumère cette figure de proue de l’altermondialisme (et syndicaliste agricole?).
   "On a une véritable richesse à mettre en œuvre mais pas de manière quantitative", assène-t-il avec conviction.

- Eva Joly, candidate à la présidentielle. Une erreur de casting ?

   Il ne faut pas être fin psychologue pour comprendre que le choix d’Eva Joly comme candidate d’Europe écologie-Les Verts à la présidentielle française ne convainc pas totalement José Bové. Mais "cela a été le choix de 80% des militants", dès lors "on est tous derrière elle", promet-il.
   "Je crois qu’elle dérange car c’est la première candidate qui n’est pas née en France, qui a un accent et qui peut dire des choses qui bousculent", confie le Girondin d’origine (et altermondialiste?... Quelle belle leçon d'écriture journalistique, quand même, hein?).
   Déplorant qu’on enferme la candidate des verts dans "de petites phrases", l’invité souhaite surtout "qu’on puisse parler du fond"(du trou?) lors de la campagne. (...)
"Moi, dans les boîtes, 
je testostérone au quart de tour...
Hihihi..."

L'hormone mâle peut aussi induire 
des attitudes égocentriques
(Oh, la grande nouvelle...)

   (...) La testostérone est secrétée chez les femmes, mais à moindre dose par rapport aux hommes. C'est pour éviter les interférences de la sécrétion naturelle que cette étude a été réalisée chez des femmes et non pas chez des hommes.
   Le degré de coopération a été testé sur des groupes composés de deux femmes auxquelles on avait administré alternativement des doses de testostérone et des placebos.
   Il était demandé aux deux femmes de coopérer pour trouver une réponse commune en cas de désaccord sur les réponses à apporter à un test.
   Les chercheurs ont trouvé que lorsque des doses de testostérone étaient administrées "la coopération était nettement réduite".
   "De fortes doses de testostérone sont allées de pair avec un comportement égocentrique", selon un communiqué diffusé à l'occasion de la publication de l'étude dans la publication britannique Proceedings of the Royal Society B.
   Lorsqu'une décision de groupe doit être prise, il faut faire la part entre coopération et intérêt personnel : trop de coopération et on pourrait ne pas s'en sortir, mais si on est trop égocentrique, on ignorera vraisemblablement l'avis d'une autre personne éclairée, explique le Dr Nick Wright qui a dirigé l'étude.
   "Notre comportement semble modulé par nos hormones", souligne le Dr Wright (enclair, le brave homme n'en sait rien). On savait déjà qu'une hormone, l'ocytocine, pouvait rendre plus coopératif. (...)


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"Si quoi?
Si l'aluminium est dangereux pour la santé?
Non, pas vraiment... Mais si l'autre cruche
continue à se mettre en valeur,
 je vais tester la résistante 
de ma poêle, moi!"
Paco Rabanne, 1968

L'aluminium nous empoisonne-t-il? 
Les chercheurs (avec prudence)
conseillent la prudence
C.B. avec Dominique Dussein 

   (...) L'aluminium est le troisième élément le plus présent sur terre. On en absorbe, chaque jour, une certaine quantité car il est présent à l'état naturel dans de nombreux aliments et c'est là que le problème se pose. 
   Aujourd'hui, de plus en plus de produits contiennent de l'aluminium, que ce soit le papier alu, les canettes, les déodorants, les dentifrices, les vaccins, les prothèse dentaires, les céréales ou la charcuterie. Et même si aucune preuve formelle n'a encore pu être établie, on soupçonne l'aluminium de provoquer des maladies chez certaines personnes affaiblies.
   C'est lorsque l'on chauffe l'aluminium, en présence de produits acides que le métal migre dans la nourriture. Il est donc déconseillé de faire des papillotes de poisson, de cuire des lasagnes dans des barquettes ou d'emballer des tomates ou du citron dans du papier alu. L'eau du robinet contient également de l'aluminium et l'absorption tout au long de la vie de ce métal pourrait favoriser la maladie d'alzeihmer, même si toutes les études n'arrivent pas à la même conclusion ("ça n'amène qu'un banal cancer, pas de quoi la ramener" disent d'autres études).
   Un dernier soupçon porte sur les déodorants qui contiennent de l'aluminium, ce qui pourrait provoquer des cancers du sein. Ici aussi, les études sont en cours et rien n'est prouvé. Mais les chercheurs conseillent la prudence et demandent qu'on utilise moins ce métal dans les industries cosmétiques et alimentaires, histoire de limiter les risques. (empoisonnons les humains, mais pas trop, enfin juste ce qu'il faut pour qu'ils continuent à consommer, en polluant et se détruisant quand même un peu... Bon...) (...)

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"Kylie...
Tu ne saurais pas où sont tous ces échantillons
de tissu que je voulais jeter à la poubelle?"

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Benoît Barvin