Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

vendredi 11 mars 2011

"Souvent, et bénévolement, le Comte Dracula aidait l'association des donneurs de sang". Benoît Barvin in "Pensées pensées"



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"L'hypocrite sourit, l'énergumène aboie."

[Voltaire]

(et l'ironiste se régale)
comme un c... sur une croix"

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Marie, pleine de grâces


   La plasticienne Soasig Chamaillard s’est attiré les foudres des traditionalistes du bocage vendéen pour son travail « blasphématoire » sur des statuettes de la Vierge. Accusée de « saper les racines culturelles, religieuses et identitaires de notre pays », l’exposition « sacrilège » où la représentation mariale est « moquée » et « insultée » s’est déroulée dans un climat pour le moins tendu.


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"Les hypocrites, comme les abeilles, 
ont le miel à la bouche et l'aiguillon caché."


[Jacques Delille]


"Même morte, ils continuent à me faire ch..."

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Dernière clope : 
Annie Girardot ne fumera pas dans le métro
 Elise Anne
(...) Il n'y a que dans les couloirs du métro parisien que la main d'Annie Girardot reste ridiculement en suspens sur la couverture du Point. Ailleurs, sur les affiches de promotion de l'hebdomadaire, l'actrice, décédée le 28 février, a une cigarette à la main.
   Pourtant, l'ARPP (Autorité de régulation professionnelle de la publicité) avait allégé sa censure sanitaire en autorisant le 18 mai 2009, texte à l'appui, les gens connus et disparus de s'en griller une.
   Après Jacques Tati dont la pipe avait été remplacée par un moulinet jaune, la rigidité de la loi Evin, qui interdit le tabac sur les affiches publicitaires, reprend du poil de la bête dans les couloirs de la RATP.

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"Hihihi... Ma fangue a lourché... C'qu'ch'suis drôle, quand même..."


Quand Sarkozy vante la « langue soufique »… qui n'existe pas

Dans son discours de Puy-en-Velay,
Nicolas Sarkozy n'a fait qu'une allusion à l'islam 
et à son apport à l'identité française :

   « Il est difficile de passer devant les antiques portes de cèdre de la cathédrale et leurs inscriptions en langue soufique sans être impressionné et ému de cette rencontre entre la langue de l'Islam et l'architecture romane ! »
   Manque de chance, la « langue soufique » n'existe pas. Il s'agit de caractères « coufiques » nous signale une riveraine érudite. Rien à voir avec les soufis (ces mystiques musulmans) : le mot « coufique » vient de la ville de Koufa, et l'écriture coufique désigne juste une calligraphie arabe particulière, qui se caractérise par son caractère anguleux. (...)
Pascal Riché



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"P'tain! Ch'kiffe grave face à tous ces milliards 
en papier monnaie! Yahou!!!
Ca m'file une de ces gaules..."


Les banquiers risquent-ils à nouveau de nous faire plonger ?

   C'est le «New York Times» qui a révélé l’affaire. Depuis la crise, les dirigeants de neuf grandes institutions financières – Goldman Sachs, JPMorgan Chase et Morgan Stanley en tête – se réunissent régulièrement en cachette dans un immeuble de Wall Street. 
   L’objet de ces conciliabules : peaufiner leur stratégie pour laminer les concurrents, continuer à berner au mieux les régulateurs et cacher à leurs clients le détail de leurs commissions sur le marché des CDS, ces fameux produits dérivés très complexes. 
   Incroyable ! Trois ans après avoir fait vaciller le système financier mondial avec leurs actifs toxiques, les banques d’investissement ont donc recommencé à jouer avec la poudre dans notre dos. Inquiétant. Car leurs petites combines pourraient s’avérer plus catastrophiques encore qu’en 2007.

Dossier à lire sur:
http://www.capital.fr/enquetes/economie/les-banquiers-risquent-ils-a-nouveau-de-nous-faire-plonger-580577

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"Toi... Je te réserve un chien de ma chienne..."




Vaccinations et cancers des enfants

   (...) Alexander Horwin a reçu 16 injections de vaccins avant l’âge de 17 mois. Dès l’âge de quatre mois, après ses premiers vaccins, il a manifesté des troubles du sommeil, une grande nervosité, pleurant et criant plusieurs fois par nuit, avec des périodes de spasmes et de convulsions. Ensuite apparurent des infections aux oreilles et des maux de ventre, mais le pédiatre ne cessait d’affirmer aux parents qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Lorsqu’il eut un an, ses jambes se couvrirent d’eczéma. Le pédiatre rassura à nouveau les parents et ordonna de la crème à la cortisone qui ne fit aucun effet. L’enfant reçut bien évidemment ses rappels de vaccins et, lorsqu’il commença à vomir, le pédiatre prétendit qu’il avait une infection virale, diagnostic confirmé par un spécialiste.
   (...) Lorsque Alexander eut deux ans, on découvrit qu’il était atteint d’un cancer au cerveau, un médulloblastome. Après deux opérations qui ont duré 16 heures, ses parents furent contraints par le gouvernement de le soumettre à la chimiothérapie. Trois mois plus tard, encore sous chimio, l’enfant décédait d’un sarcome leptoméningé.(...)
Sylvie Simon.
Pour en savoir plus:


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Luc Desle

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