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"Si je fais les soldes? Bien sûr, à Dubaï
ou dans une autre petite île sympathique..."
Humour:
(...)
Christine Lagarde a, pour sa part fait preuve d’une belle inventivité, en forme de boulette. le 10 janvier, en adressant ses voeux au personnel du ministère des Finances, la ministre de l'Économie, des Finances et de l'Emploi s'est plu à imaginer ce que serait son quotidien sans ses troupes. Exercice de style reporté en partie dans le Canard:
«D'abord, pas de chauffeur pour me rendre à Bercy (elle y va à pince, of course). En plus, je devrais observer les feux de circulation, moi qui aime tant observer le ballet des extraordinaires motards qui nous ouvrent la route (ah, bon, on a tout faux. En fait, c'est elle qui conduit... en regardant le ballet des motards... Expliquez-nous, M'dame Lagarde) ».
Puis, elle s’est fait peur en imaginer une vie sans grands chefs: «le plus grave serait qu'il n'y aurait rien à manger (rien à manger = nib de nib. Là, on comprend). Et quand on est habitué au raffinement des mets qui nous sont servis, on n'a guère envie de connaître d'autres tables (mais y'aurait quand même quelque chose? Pffiii... Faut faire une Grande Ecole pour piger le discours à la Dadame...)».
«D'abord, pas de chauffeur pour me rendre à Bercy (elle y va à pince, of course). En plus, je devrais observer les feux de circulation, moi qui aime tant observer le ballet des extraordinaires motards qui nous ouvrent la route (ah, bon, on a tout faux. En fait, c'est elle qui conduit... en regardant le ballet des motards... Expliquez-nous, M'dame Lagarde) ».
Puis, elle s’est fait peur en imaginer une vie sans grands chefs: «le plus grave serait qu'il n'y aurait rien à manger (rien à manger = nib de nib. Là, on comprend). Et quand on est habitué au raffinement des mets qui nous sont servis, on n'a guère envie de connaître d'autres tables (mais y'aurait quand même quelque chose? Pffiii... Faut faire une Grande Ecole pour piger le discours à la Dadame...)».
(AHAHAHA!!)
(...)
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Chiffres:
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(L)e nombre d'inscrits sans emploi s'élève désormais à 2.692.500 personnes, ce à quoi il faut ajouter 1.278.400 demandeurs qui ont exercé une activité partielle au mois d'août, en catégorie B (+0,3% et +7,7% en un an) ou C (-1,4% mais +15,8% en un an) selon que leur temps de travail était inférieur ou supérieur à 78 heures.
Au total, 3.970.900 personnes résidant en métropole figurent actuellement sur les listes de Pôle emploi et plus de 4,2 millions en tenant compte des départements d'outre-mer, sans parler des 617.200 personnes qui inscrites en catégorie D et E ne sont pas tenues à "des actes positifs" de recherche d'emploi.
Humour:
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Malgré le mauvais chiffre du mois d'août, la ministre de l'Economie Christine Lagarde estime que la tendance reste à une stabilisation du marché du travail.
(AHAHAHA!! ENCORE, ENCORE... SACRE CHRISTINE!)
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"Com'on! Ch'suis clean!
Oh Yeah! P'tain, faites ch... tous!
Oh Yeah! P'tain, faites ch... tous!
Qui qu'a pas fauté en sniffant
m'jette la première pierre!"
m'jette la première pierre!"
(Présentateur de télévision s'essayant au Mantra méthode coué
- et pas cauet, bien sûr)
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http://hightech.nouvelobs.com/actualites/depeche/20100925.ZDN3023/bill-gates-est-toujours-l-homme-le-plus-riche-des-etats-unis.html
"Moi j'gagne plus qu'toi!
- Pas vrai!
- Chiche qu'on révèle tout l'pognon qu'on s'fait
en f'sant des émissions de m...?
- Chiche toi d'abord!
- Ah non, pourquoi moi? Toi!
Puisque t'es si malin.
- Espèce de lavette...
- C'est celui qui l'dit qui l'est..."
(etc, etc)
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"Oh regarde, Bill, tu as vu ce joli bébé malade?
- Il est mignon tout plein...
Il coûte combien?"
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Voilà 17 ans que Bill Gates est l'homme le plus riche des États-Unis. Le classement Forbes de cette année couronne une fois encore le cofondateur de Microsoft dont la fortune s'élève actuellement à 54 milliards de dollars. Warren Buffett arrive en deuxième place avec 45 milliards, suivi de Larry Ellison qui pèse 27 milliards.
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" Tu es sûr que tu veux pas t'asseoir à côté de moi?
- T'es con, toi, ça va faire jaser...
(La chancelière, mutine)
- T'es con, toi, ça va faire jaser...
(La chancelière, mutine)
- Aj, ces z'hommes! Ils ne safent plus goi invender
bour me faire du gringue!
Ch'attends zelui qui ozera le bremier bas..."
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Benoît Barvin
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