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Stef- libéralisme
Libéralisme:
(...) le libéralisme économique se traduit sur le marché du travail par une plus grande flexibilité des ressources humaines et, pour certains, par la précarité. La position libérale en la matière est que l'entrepreneur sera plus enclin à embaucher du personnel en phase de croissance de son activité, que cette souplesse permettra aux entrepreneurs de répondre plus facilement aux demandes du marché, ce qui sera bénéfique pour l'activité économique en général et donc pour les travailleurs (créant ainsi un cercle vertueux), ces derniers étant alors dans une situation qui est de mobilité, plutôt que de précarité.
(...)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Libéralisme_économique
«20 ans»: 7 astuces pour faire un magazine sans argent . Publié le 11 avril 2009
1/ La rédactrice en chef est stagiaire
2/ Les rédactrices sont très jeunes
3/ Les piges sont ridiculement basses
4/ Les piges peuvent être payées au noir
5/ Le paiement des piges est sans cesse repoussé
6/ La rédaction est gérée sur MSN
7/ Une rédactrice tombée en disgrâce est bloquée sur MSN
La direction de «20 ans», après avoir tout nié — «ce ne sont que des rumeurs» —, nous a recontacté pour expliquer ces conditions de travail surprenantes. «Les photos et les maquettistes nous coûtent énormément d’argent. C’est vrai que le salaire des rédactrices ne correspond pas aux tarifs dans la presse, mais on n’a forcé personne. Si elles demandent une augmentation, on ne pourra pas les payer», explique «Vincent B».
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"P'tain, j'ai un d'ces coups d'barre, moi,
avec toutes les conn... que j'dis partout..."
La contestation de la réforme des retraites effraie tellement la majorité que moins d’une semaine après la dernière journée de grève et de manifestations, Jean-François Copé, grand chef (mamamouchi?) des umpistes à l’Assemblée nationale, n’a pas hésité à déclarer à la presse qu’il était temps à présent de s’attaquer à la semaine de 35 H.
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"Pardon? Quelqu'un m'a parlé?
Ch'suis désolé, j'ai mon sonotone qu'est débranché...
Saleté de machin étranger!"
Le premier procureur de France Jean-Louis Nadal a pesé de toute son autorité morale pour qu'un juge d'instruction enquête sur l'affaire Woerth-Bettencourt sans parvenir à ce stade à convaincre le procureur de Nanterre Philippe Courroye d'abandonner le contrôle des investigations. (Fred Dufour)
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"Communards! Communards!
Est-ce qu'on a des têtes de communards, dis-moi?
- Heu... Il a dit "Cumulards", je crois...
- Ah bon, ce n'est que ça... Sinon, moi, j'te lui aurais
foutu un procès dans le c..., j'te dis pas..."
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Dans un court essai intitulé "Pour en finir avec les conflits d'intérêts" (Stock),Martin Hirsch, ancien Haut commissaire aux Solidarités actives, fait une série de recommandations sur ce thème devenu très sensible au travers de l'affaire Woerth/Bettencourt.
Il nous livre aussi quelques exemples de conflits d'intérêts (voire de soupçon de prise illégale d'intérêt ...), comme par exemple une affaire de timbres ayant bénéficié avantageusement à Gérard Longuet, ou encore le cumul de fonction de Jean-François Copé, député et même chef des députés UMP qui forme la majorité entérinant les lois, tout en restant avocat d'affaires dans le privé.
Jean-François Copé, droit dans ses bottes, revendique ce cumul et nie le risque de conflit d'intérêts, comme Eric Woerth niait aussi les évidents et multiples conflits d'intérêt le concernant dans l'affaire Bettencourt (cumul de fonction de ministre du budget et de trésorier de l'UMP recevant des dons de personnes pratiquant l'évasion fiscale, ainsi que fonction de son épouse chargée de l'optimisation fiscale de la plus riche fortune pratiquant cette évasion fiscale) comme aussi dans l'affaire de l'hippodrome de Compiègne (dont il a autorisé la vente comme ministre du budget à un ami, dirigeant de France-Galop, qui compte parmi ses membres son épouse Florence, possédant une écurie, cette décision bénéficiant de surcroît à la ville de Chantilly (qui utilise l’hippodrome de Compiègne), dont il est maire).
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http://blogjournalisme.free.fr/imprimatur/spip.php?article294
"Qu'en pensez-vous, Liliane?
- Chut! Ch'suis ici incognito"
Près de 8 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté
13% de la population française, soit 7, 836 millions de personnes, vit sous le seuil de pauvreté. Un chiffre alarmant mais néanmoins stable selon les chiffres 2008 de l'Institut national de la Statistique et des Etudes économiques (Insee). Le «seuil de pauvreté monétaire» est de 949 euros par mois (contre 910 en 2007, hors inflation).
Sur ces 13%, la moitié a un niveau de vie inférieur à 773 euros mensuels. Les familles monoparentales demeurent les plus touchées : 30% sont concernées. Pour ces familles, la proportion de pauvres est 2,3 fois plus forte que dans l'ensemble de la population.
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Luc Desle
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