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"Yes, we can...
Nous pouvons toujours nous insérer
dans les rouages des pays
d'Amérique Centrale aux mieux de nos intérêts
- Bravo, Monsieur le Président, bien dit!"
Une dictature qui ne dit pas son nom
Un an après le coup d’Etat, les opposants subissent une forte répression. Juges, médias et défenseurs des droits de l’homme sont muselés dans l’indifférence de la communauté internationale.
María Laura Carpineta
(...) Au Honduras, il est encore dangereux de parler de coup d'Etat, de résistance ou de violations des droits de l'homme. Ceux qui ont ouvertement refusé le coup de force du 28 juin 2009 continuent d'en payer les conséquences.
Les juges indépendants, qui ont exprimé publiquement leur attachement à l'ordre constitutionnel, ont été démis par la Cour suprême, le complice numéro un de l'armée. Une bonne dizaine de journalistes critiquant la nouvelle connivence entre les hommes politiques et les militaires ont été réduits au silence cette année en tombant sous les balles de tueurs.
Et tous les deux ou trois jours, des jeunes, certains encore vêtus du T-shirt de la consultation populaire promue par le président déchu Zelaya en vue de réformer la constitution avant le coup d'Etat, apparaissent morts dans les faubourgs de Tegucigalpa, la capitale, les mains attachées et visiblement torturés. Ils sont peu de choses aux yeux du gouvernement “démocratique” de Porfirio Lobo. Pour couper court à toute enquête il sont désignés comme des jeunes membres de gangs, des “maras”, façon de préciser qu’il n’y aura à leur égard ni vérité, ni justice.(...)
article à lire en entier à l'adresse suivante:
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"Désolé, honowables étwangers,
moi wien entendwe insinuations anti-chinoises"
La piste chinoise se confirme dans l'affaire Renault
Par LEXPRESS.fr avec REUTERS
Deux des trois cadres soupçonnés par Renault d'espionnage industriel ont des comptes en Suisse et au Liechtenstein. Comptes alimentés par un géant de la distribution électrique chinois.
http://www.lexpress.fr/actualite/economie/la-piste-chinoise-se-confirme-dans-l-affaire-renault_951367.html
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Grand penseur libéral et son livre rouge intitulé:
"Comment parler pour ne rien dire".
Sous-titre: "en monopolisant la conversation
par des certitudes tirées de mon pot de chambre"
Nicolas Baverez , né le 8 mai 1961 à Lyon et avocat (et encore un) depuis 1998, est un essayiste français.Normalien de la rue d'Ulm (promotion 1980) et énarque (promotion 1988) (donc, en principe, commis de l'Etat), il est également docteur en histoire (en histoire...) et agrégé de sciences sociales (sociales!). Sa pensée a été fortement influencée par Raymond Aron (!).
Pensée (?)
Nicolas Baverez est libéral (il écrit : « L’antilibéralisme est un fléau qui se trouve au principe du déclin et de la régression de la France »). Il est l'un des principaux représentants d’un courant qui se veut décrire avec réalisme la situation économique de la France et que ses opposants qualifient de « décliniste ». Nicolas Baverez dénonce un déclin relatif (faudrait savoir: déclin ou pas?) de la France par rapport au reste du monde (rien de moins) dont il situe les causes dans l'intervention trop forte et à mauvais escient de l'État (ce pelé, ce galeux) dans l'économie ou la fiscalité trop lourde (antienne). La France, elle et selon lui, reste le seul pays (le seul!) développé qui s'échine (en pure perte, grâce à nos amis au pouvoir) à maintenir le modèle "caduc" d'économie fermée et administrée, voire crypto-staliniste (et toc! dans les dents des opposants au libéralisme), des années 1960.
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"Mais t'es dingue! Et l'éthique, alors?
Je suis ta soeur... TA SOEUR!
- On verra plus tard.... Maintenant, j'ai trop envie"
Les économistes en quête d'un code éthique
(que celui qui l'a dérobé veuille bien le rapporter, svp)
Alors que l'influence croissante des milieux d'affaires sur la recherche académique est largement critiquée, la vénérable Association américaine d'économie envisage une nouvelle fois de rédiger un code de déontologie. Mais ce n'est pas gagné.
06.01.2011 | Sewell Chan | The New York Times
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"Bon, les gars, comme l'année 2011
commence aussi mal que la précédente,
je vais piquer un petit somme.
Vous me réveillerez un jour..."
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