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(Type de femme noire évoluant dans l'inconscient perturbé
d'un certain homme politique français)
Femme-de-Mongo-Hoa-Qui (1)
Pourquoi l’affaire DSK captive les Français
Pourquoi l’affaire DSK captive les Français
Parce qu'elle est inédite dans l'histoire politique, l'affaire concernant Dominique Strauss-kahn suscite une vraie passion en France. Sexe, politique, pouvoir, argent, médias... Tout y est
(...) Mais pourquoi passionne-t-elle à ce point? « Parce qu’une fois passé la sidération de dimanche matin, devant une information aussi énorme, elle se révèle exceptionnelle, tant elle concentre un large faisceau de symboles », analyse le sociologue Michel Wievorka. Il y a… tout, dans cette affaire : « L’émotion brute devant un homme si haut qui tombe si bas », ravivée par les images chocs de DSK menotté et défait.
Tous les ingrédients que le plus culotté des scénaristes de ces séries américaines chéries des téléspectateurs français n’aurait jamais osé mêler dans une seule histoire, suspense compris. « La politique mondiale et nationale; l’homme blanc et puissant face à la femme modeste de couleur, ce qui nous renvoit à des questions morales, de race, de classe et de genre, énumère le sociologue, la mise à nu des risques de connivence du politique et des médias, qui crée l’image d’une élite, bien loin des Français de la rue qui attendent autre chose. » (non? Vous croyez?) (...)
Claudine Proust
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(Bus d'un président méritant une future opprobre internationale?)
Un rapport accable la reprise du port
de Conakry par Bolloré
Augustin Scalbert
(...) Arrivé au pouvoir en décembre, le nouveau président guinéen, Alpha Condé, a attribué par décret du 10 mars la concession du port au groupe Bolloré, en arguant d'une «défaillance» de Getma, qui avait obtenu ce marché en 2008 après appel d'offres, pour une durée de vingt-cinq ans. Du côté de Getma, on soupçonne un favoritisme des autorités guinéennes vis-à-vis de Bolloré.
Selon Bolloré, qui a signé le contrat dès le 11 mars, cette concession lui revenait de droit, puisqu'il était arrivé deuxième lors de l'appel d'offres de 2008. Getma conteste.
Quoi qu'il en soit, une chose pose des questions dans l'attribution à Bolloré. Un élément majeur : le périmètre de la concession a été élargi.
Sur 27 pages, « l'audit de la convention de concession du terminal à conteneurs de Conakry » réalisé par Inecor détaille les conditions très favorables dont Bolloré a bénéficié en signant son contrat :
- le domaine d'extension du terminal de conteneurs passe de 120 000 à 250 000 m2 ;
- le domaine d'une future plateforme de stockage passe de 11 000 à 40 000 m2 ;
- le terminal conventionnel est inclus dans la concession, alors qu'il ne l'était pas en 2008 ;
- la zone d'exclusivité de Bolloré est étendue à la totalité du port de Conakry et ses éventuelles extensions, alors que Getma n'avait droit qu'au terminal à conteneurs ;
- l'exclusivité sur les différentes formes de manutention est aussi plus étendue…
Tous ces bonus attribués à Bolloré constitueraient de véritables cadeaux (avec les amis, on ne compte pas), puisque « les redevances de concession sont restées inchangées malgré l'extension substantielle des activités concédées, du périmètre concédé et de la zone d'exclusivité ». (...)
Pour en savoir plus, lire:
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"L'EPO, c'est dans le champagne qu'ils me l'ont mis...
A l'insu de mon plein gré"
Dopage:
De nouvelles accusations contre Armstrong
(...) Lance Armstrong est de nouveau visé par un ancien coéquipier. Interrogé jeudi soir dans l'émission 60 minutes de la chaine américaine CBS, Tyler Hamilton a révélé des pratiques dopantes au sein de l'équipe US Postal. Évoquant Lance Armstrong, le coureur américain, suspendu pour dopage entre 2005 et 2007, a déclaré qu'il avait pris de l'EPO en sa compagnie sur le Tour de France 1999. "J'ai vu de l'EPO dans son réfrigérateur... Je l'ai vu s'en injecter plus d'une fois, comme nous l'avons tous fait. Comme je l'ai fait, de nombreuses fois." (meuh non, c'est que des mensonges) (...)
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"Moi, ch'suis le fils d'un blogueur qui déteste la pub.
Enfin... C'est ce que m'on dit les sponsors de mon papa"
actualitte.com"Moi, ch'suis le fils d'un blogueur qui déteste la pub.
Enfin... C'est ce que m'on dit les sponsors de mon papa"
"Grande marque cherche blogueur
pour article bienveillant"
(...) Une offre bien pensée», «des innovations majeures», «taillé sur mesure»… : à lire les commentaires élogieux parus en février sur des blogs techno réputés comme Gonzague, Ecran mobile ou Vendeesign, la nouvelle Neufbox Pro de SFR semble parée de toutes les vertus. Seuls les plus vigilants auront remarqué, en tête de chaque article, une mention indiquant qu’il s’agit d’un «billet rémunéré». Autrement dit un publireportage, comme on disait à l’époque de Gutenberg.
De quoi provoquer un tollé ? Quand ils ont fait leur apparition il y a quatre ans sur le Web, les premiers articles sponsorisés avaient provoqué la colère des internautes. Aujourd’hui cette pub déguisée «fait partie du paysage», comme le souligne Grégory Pouy, qui tient un blog réputé dans le domaine du marketing. Selon un sondage du site NowhereElse, un tiers des blogueurs cèdent volontiers aux avances des entreprises. Ils étaient 17% il y a deux ans.
Une aubaine pour les marques, d’autant que les Français adorent consulter ces sites dits d’opinion. Le but pour les annonceurs est d’accompagner une campagne média plus classique. «Après avoir regardé la pub d’un nouveau produit à la télé, les consommateurs vont souvent voir ce qu’on en dit sur Internet, raconte Frédéric Farrugia, directeur de l’agence YouMedia. S’ils tombent sur ces articles favorables, c’est tout bon.» L’Oréal, Nuxe, ING ou même les fours Neff, des centaines de marques utilisent désormais ce canal. (...)
Bruno Declairieux © Capital
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"Mais ma chérie, il n'y a aucune mauvaise onde...
Il n'y a que de méchants karmas. C'est tout!"
«Mauvaises Ondes»,
le documentaire qui accable
l'industrie de téléphonie mobile
l'industrie de téléphonie mobile
(...) Antennes relais, wifi, téléphones mobiles… Ils peuplent notre quotidien et sont l’objet de nombreuses inquiétudes. France 3 diffuse mercredi soir Mauvaises Ondes*, un documentaire de 90 minutes qui montre comment l’industrie du téléphone mobile s’est imposée face aux scientifiques.
«J’ai voulu comprendre le fonctionnement de la recherche sur cette question», explique Sophie Le Gall, la réalisatrice. Une partie des études qui démontrent un danger potentiel. A l’aide d’expériences sur des rats, elles prouvent que les ondes peuvent favoriser le développement des tumeurs cancéreuses ou endommager les neurones. Mais elles n’ont jamais abouti, voyant leurs crédits coupés ou leur publication mise en péril.
D’autres chercheurs assurent qu’il n’y a aucun risque pour la santé certifié à ce jour. Mais leurs liens avec les opérateurs comme SFR, Orange ou Bouygues rendent leurs conclusions douteuses. Problème: ces mêmes experts sont missionnés par l’Etat pour édicter les normes à respecter. «Des normes pour protéger l’industrie plutôt que la santé publique», conclut le documentaire. (...)
Yona Helaoua
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Benoît Barvin
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