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"A la boxe, l'éducation, on la cultive..."
Affaire des quotas:
Pour Guy Novès, le foot doit «revoir un peu
le fonctionnement de l’éducation de ses joueurs»
(...) La polémique (Emile Victor) soulevée par les révélations de Mediapart commence à trouver un écho dans les autres sports. Cette fois, c’est Guy Novès, le manager du Stade Toulousain, qui est venu mettre son grain de sel (pourquoi ce terme méprisant?), réveillant la guéguerre (idem) football -rugby, à travers une analyse très personnelle (ah bon?) du problème.
«Au foot, on a l’impression (pas que l'impression, d'ailleurs) que pendant un certain temps, on est allé chercher rapidement de jeunes joueurs de couleur ou étrangers dans des pays d’où ils arrivent sans savoir ni écrire, ni lire quelquefois (souvent), et cela donne des joueurs comme aujourd’hui dont le comportement n’est peut-être pas (n'est pas, tout simplement) toujours idéal. Pour redonner une image que le foot mérite car c’est un grand sport, ils ont peut-être (pourquoi peut-être?) intérêt à revoir un peu (beaucoup) le fonctionnement de l’éducation de leurs joueurs (et la masse de fric donnée à des ras du bulbe?).» (...)
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"Ce que j'ai dit que j'ai dit, je l'ai peut-être dit,
Mais ce que je n'ai pas dit que j'ai dit,
Je ne l'ai pas dit... je crois"
Les ONG du Grenelle et l'Elysée,
irréconciliables sur le nucléaire
(quel scoop!)
(...) L'accident de la centrale japonaise de Fukushima, à la suite du tremblement de terre et du tsunami du 11 mars, a relancé en Europe le débat sur le recours à l'atome, notamment en France, où près de 80% de l'électricité est d'origine nucléaire. Malgré cela, Nicolas Sarkozy entend confirmer le choix de la France mardi en se rendant sur le site de la centrale de Gravelines, dans le Nord, et dénoncer à cette occasion «la perte de sang-froid»(c'est lui qui dit ça!!!), selon lui, de ceux qui demandent aujourd'hui l'abandon du nucléaire.
Lors de sa rencontre avec les ONG du Grenelle de l'environnement, il a cependant promis (ce qui n'engage à rien) de demander à la Cour des comptes un audit (la preuve...) sur la filière nucléaire française, son coût et son financement, ont rapporté des participants (mais l'a-t-il promis de ses belles lèvres pulpeuses?). Mais il a refusé de suspendre la construction de la nouvelle centrale de Flamanville (Manche) pendant la durée de l'audit -suspension demandée par Greenpeace, dont une cinquantaine de militants ont bloqué lundi matin les accès au chantier.
avec Reuters
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"Et la durée des piercings
qui me font cette tronche de cake,
c'est combien?"
Un modèle mathématique permet de prédire
la durée des tatouages
(...) Le chercheur a étudié la dispersion de l'encre dans les couches de la peau pour aboutir à une formule mathématique, qu'il a ensuite appliquée à plusieurs tatouages pour dessiner leurs contours à long terme. L'injection d'encre a d'abord pour effet une réaction immunitaire, les globules blancs affluant pour évacuer les déchets. Une partie de l'encre est alors éliminée à travers le système lymphatique, tandis que le reste est capturé dans les cellules (fibroblastes) sous la surface de la peau. Au fur et à mesure du vieillissement, les particules d'encre vont se diffuser sous la peau alors que les cellules se divisent ou meurent.
«Le type de peau, l'âge, la taille du tatouage, l'exposition au soleil et le type d'encre utilisée ont tous une influence sur la manière dont le tatouage va se disperser avec le temps», estime (après des études intenses sur combien d'années, ce constat?) le professeur Eames.
«De façon générale, mon étude montre que les détails fins du tatouage se perdent les premiers, tandis que les lignes plus épaisses sont moins affectées. Des tatouages finement dessinés peuvent avoir l'air très beaux quand ils sont réalisés, mais ils ont tendance à perdre leur définition après 15 ans», observe-t-il. Les grands tatouages se comportent mieux sur la durée que les plus petits, constate aussi l'étude publiée jeudi dans la revue spécialisée Mathematics Today. (...)
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"Tu as entendu, ma choute, y'en a qui aimeraient
qu'on leur fasse la tête façon puzzle"
(La relation entre les amateurs de piercings
et les auteurs du blog Tu quoque
était des plus fraternelle)
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(Dans les années 80, la culture était aussi vivace
- et lettrée - qu'aujourd'hui)
Années 1980 :
les fossoyeurs du nouveau monde /
Entretien avec François Cusset
Extraits.
Lire le reste sur
Extraits.
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(...) Le capitalisme fonctionne sur cette promesse faite aux « perdants » qu’ils ont une chance d’atteindre la félicité de ceux qu’ils scrutent dans les médias. Ils devraient détester ces gens qui leur volent tout ; au contraire, ils les aiment, les désirent et les envient. Parce que – justement – il y a du corps, de la jouissance, toute une aisance. L’autre, celui d’en face, n’est pas seulement l’ennemi social, il est aussi un corps dans lequel on se projette.
C’est lourd de conséquences, la multitude non embourgeoisée s’en trouve complètement clivée. D’un côté, les gens sont certains qu’une injustice irréversible est la cause de leur existence quotidienne ; de l’autre, ils s’identifient au corps du gagnant, espérant qu’un jour il soit le leur. Ce clivage démobilise.
Tout l’esprit des années 1980 tient dans cette promesse qu’il ne faut pas de compétences particulières pour réussir, mais juste un mélange de chance, de niaque et d’avantages liés à l’époque – ce n’est donc pas une question de prédestination sociale. C’est accessible à tout le monde : voilà ce que prétend le néo-libéralisme en agitant ce vieux mensonge de la démocratie entrepreneuriale. (...)
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Luc Desle
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