Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.
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samedi 24 novembre 2012

"Etrange: Le roi du couscous haïssait la semoule". Benoît Barvin in "Etrange, vous z'avez dit?".

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Pensées pour nous-mêmes:

(L’ÉLÈVE EST LE SAGE DU SAGE)

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(L'Inde, fournisseur exclusif de Pantagruel et Gargantua?
La question se pose après que notre reporter ait pris, 
en caméra cachée, cette étonnante photo)

via Retronaut
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"Quel charabia! J'ai pas besoin d'avoir
fait les Grandes Ecoles pour savoir
comment faire pour trouver de la tune et où ..."

Rigueur/déficit : 
le débat des économistes

Cédric Durand, 
économiste, membre 
des Économistes atterrés

   (...) La suppression des déficits publics au lendemain d’une crise financière est une aberration. C’est le b.a.ba de la macroéconomie : dans une « récession de bilan », lorsque les ménages et les entreprises sont contraints de se désendetter pour encaisser le choc de la crise financière, si les États font de même et qu’il n’y a pas de hausse soutenue de demande externe (par exemple via une dévaluation) l’économie ne peut redémarrer. La nouvelle récession dans laquelle plonge l’UE après celle de 2008-2009 confirme le scénario « double dip » anticipé de longue date par tous les économistes qui gardaient un brin de lucidité. Dans un tel contexte, le poids de la dette par rapport à la richesse produite s’accroît mécaniquement. Politiquement, le choix de l’austérité budgétaire implique non seulement une dégradation des services publics et/ou une hausse de la pression fiscale, mais il conduit tout droit à une accélération de la hausse du chômage. L’engagement de François Hollande de retourner la courbe du chômage d’ici la fin de l’année 2013 ne sera pas tenu, si le cap de l’austérité budgétaire est maintenu.

   Cette critique keynesienne de l’austérité est impeccable mais elle ne s’adresse qu’à la crise dans sa dimension financière. Hors, en arrière plan de celle-ci se dissimule une grande fatigue du capitalisme qui, décennie après décennie, depuis les années 1960 a vu la croissance ralentir par rapport à l’ « âge d’or » de l’après-guerre. Il n’y a pas que les décroissants qui posent aujourd’hui la question de la fin de la croissance. Dans son éditorial du 3 octobre dernier, Martin Wolf, l’économiste en chef du Financial Times reprend cette vieille question de l’état stationnaire qui préoccupait déjà beaucoup les économistes classiques. 

   À cet aune-là, les politiques d’austérité tout autant que les réformes structurelles et autres chocs de compétitivité renvoient à l’idée qu’il n’y a plus de fort potentiel de croissance dans la dynamique interne système. Relancer l’accumulation du capital – et générer les profits auxquels se sont habitués les acteurs financiers – ne peut se faire que par la captation prédatrice et non l’augmentation du revenu global.

Lire l'article sur:


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(La fille nue attrape-gogos en pleine action dans la nature)

Andreas Feininger—Time & Life Pictures/Getty Images


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"Oh Mon Dieu!
- Quoi?
- Des Z'Hommes... et ils se battent entre-eux...
- C'est quelle peuplade?
- Les gentils-méchants végétariens 
contre les méchants-gentils carnivores...
- Nous, on s'en fout, on est omnivores."


INDE 
Crise de mauvaise foi 
entre végétariens et mangeurs de viande

Ingrid Therwath
   (...) Depuis la mi-novembre, la parution d'un manuel scolaire destiné aux élèves de sixième et publié par un comité national fait scandale. La raison, expliquée par le quotidien Hindustan Times, en est simple: on peut en effet lire que les non-végétariens "ont facilement recours à la tromperie, au mensonge, ils oublient leurs promesses, ils sont malhonnêtes et parlent vulgairement, volent, se bagarrent, font usage de la violence et commettent des crimes sexuels". Rien de moins ! 

   Le comique Rohan Joshi, fervent amateur de viande, a donc pris la plume pour réagir à ces bêtises dans le quotidien Mid Day. Il y explique que "ce n'est pas facile d'être un non-végétarien en Inde. En plus des regards désapprobateurs que vous lancent les végétariens "éthiques", vous devez faire face à des groupes qui vous jugent sur le plan moral ou religieux. On vous dit que, si vous mangez du bœuf, les dieux hindous vous châtieront. Si vous mangez du porc, ce sera Allah." (pauvres carnivores...)

   Dans un pays où les interdits alimentaires sont très forts et fournissent parfois des prétextes à des heurts entre les communautés, tout ce débat est loin d'être anodin. Rappelons d'ailleurs, comme le fait le magazineIndia Today, qu'un chef de caste a relié de récents viols à la consommation de chowmein, plat de nouilles chinoises très populaire en Inde, de burgers et de pizzas. L'ignorance et la xénophobie s'expriment aussi dans l'assiette.(qui en doutait?) (...)
Lire sur:


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Benoît Barvin

mardi 15 novembre 2011

"Pour finir en beauté il se maquilla soigneusement et, le découvrant ainsi fardé, ses amis le mirent en pièces". Jacques Damboise in "Pensées peroxydées".



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"Tu sais sur qui il faut taper, Guignol?
- Oui, Gendarme Proglio. Sur les z'écologistes!
- Aie! Mais arrête! Je n'appartiens pas à cette chienlit...
- Excuse, Gendarme, mon bâton est parti tout seul"
La blague du jour.
Henri Proglio: 
une sortie du nucléaire 
augmenterait le prix de l'électricité

   (...) "En cas d'arrêt prématuré (5 ans? 10 ans? Plus?) des centrales (nucléaires) en France, il y aura un doublement des prix de électricité et ça va être crucial pour les emplois dans le nucléaire (uniquement là?)", a averti (brrr...) M. Proglio lors d'un colloque sur l'énergie (nucléaire?)  à Paris.
   Un abandon de l'atome entraînerait aussi, selon lui, "une progression des énergies fossiles (gaz et charbon, ndlr), soit un accroissement de 25% des émissions de gaz à effet de serre en France (plus de nucléaire, donc plus de pollution, CQFD), la MDE (maîtrise de la demande d'électricité) et les ENR (énergies non renouvelables) ne suffisant pas à remplacer la base nucléaire installée (chiffres à l'appui?)", a-t-il averti (re encore brrr...?).
   M. Proglio a appelé en conséquence à "parier sur le bon sens" pour ne pas perdre cet "atout majeur" pour la France qu'est l'atome. (...)

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"Proportionnell'ment, le G8 il est moins cher que le G20,
mais celui-ci il a duré moins longtemps car il faisait moche,
à Cannes... c'est vraiment pas un temps d'saison...
Une ôt' question?"
Les G8 et G20 plus coûteux 
que prévu : 59 millions d'euros
   (...) Les coûts des sommets du G8, à Deauville en mai, et du G20, à Cannes la semaine dernière, seront plus élevés que prévu. 
   Ainsi que l'a annoncé mardi à l'Assemblée nationale la députée UMP Geneviève Colot, rapporteur pour avis, lors de la discussion des crédits 2012 du ministère français des Affaires étrangères, les factures respectives s'élèvent à 31 millions pour le premier, et à 28 millions pour le second.
   Les dépenses prévues pour le G8 s'élevaient à 20 millions d'euros. Cette hausse des coûts est due à l'invitation faite à plusieurs délégations arabes de participer au sommet et à la création d'un centre de presse sous tente pour 2.400 journalistes accrédités (s... d'arabes et de journalistes qui coûtent trop cher!), a précisé la députée. «L'organisation du sommet du G20 de Cannes devrait aussi dépasser les prévisions», a-t-elle ajouté. Son coût devrait être «de 28 millions d'euros contre 25 prévus» (en dépit du prix modéré de la suite du Résident à 3500 euros la nuit?), a-t-elle précisé. (...)

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(Malgré le nouveau plan de rigueur,
l'humeur des partisans du Résident
était au beau fixe)

"Les compagnons de la nouba" (Laurel et Hardy)
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Plan de rigueur : 
comment Nicolas Sarkozy 
devient le président de l'austérité
(pour les autres)
Thierry de Cabarrus
   (...) Décidément, Nicolas Sarkozy est un adversaire redoutable(ment pénible?) pour 2012. C'est la leçon que l'on doit retenir de la présentation du plan de rigueur sans précédent par son Premier ministre. Voilà que, sans la moindre hésitation, avec un cynisme qui, en toute autre période que cette crise, devrait jeter des millions de Français dans la rue, Nicolas Sarkozy troque son costume de président du pouvoir d’achat, d’opposant acharné de l’austérité contre celui de "père la rigueur" que n’aurait pas renié Raymond Barre (de triste mémoire?) lui-même.(...)
   (...) Voilà une stratégie particulièrement dangereuse (on l'espère bien...) pour Nicolas Sarkozy, à moins qu’elle ne soit la seule qui reste à sa disposition pour tenter de l’emporter en mai 2012. Car il sait qu’il est très en retard dans les sondages par rapport à François Hollande et que si, pour la première fois depuis des années, il connaît enfin une embellie de son image, il la doit d’abord à la crise économique et financière, à cette forme d’agitation perpétuelle qui le caractérise et qui lui tient lieu de volontarisme aux yeux des Français. Il sait qu’il la doit aussi à cette prime étrange accordée aux présidents pendant les crises. Elle repose sur l’idée, non vérifiée, qu’en pleine tempête, il n’est jamais bon pour le navire de changer de capitaine.
   Donc, Nicolas Sarkozy a beau ne pas s’être déclaré pour un second mandat, il profite de ce que François Hollande reprend son souffle après sa victoire à la primaire socialiste, pour imposer son thème de campagne. L’élection présidentielle se jouera, laisse-t-il entendre, sur la capacité des deux champions à sortir la France de la crise. D’ailleurs, depuis plusieurs jours, les amis de Nicolas Sarkozy répètent à l’envi que l’adversaire de ce dernier "n’a pas les épaules suffisantes" (z'ont pas osé parler de taille, pourquoi?), qu’il est trop "fragile" (une gonzesse?), qu’il est trop "normal" (Sarko serait donc anormal?) pour affronter une période qui, elle, n’est pas normale, et même dangereuse pour la France et les Français (mais pas pour les banquiers et les hauts revenus?). (...)


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Dette : 
la faute des économistes 
Olivier Postel-Vinay 
   (...) Avec son livre sur l’histoire de la dette, l’anthropologue britannique David Graeber jette un autre pavé dans la mare : la plupart des économistes se trompent sur la nature de la monnaie, du crédit et de l’endettement. Un livre "fascinant ", juge Gillian Tett dans le Financial Times.
   Selon le schéma classique présenté par les historiens de l’économie depuis Adam Smith, la monnaie a remplacé le troc, et le crédit s’est développé par la suite. C’est faux, écrit Graeber : des relations de crédit et, donc, d’endettement très complexes ont de loin précédé l’invention de la monnaie ; quant au troc, il a toujours été un pis-aller, et ne s’est vraiment développé que dans des situations particulières ou de crise. En 3200 avant notre ère, les Mésopotamiens, qui n’avaient pas de monnaie, pratiquaient le prêt à intérêt et inscrivaient les transactions sur des tablettes. C’est cette " monnaie virtuelle " qui est à l’origine de la monnaie, et non le troc, conclut Graeber après avoir passé en revue toutes les civilisations connues.(...)
   (...) Analysant ensuite les grands cycles de l’histoire économique depuis l’Antiquité, il voit se dessiner deux types de périodes, marquées par une plus ou moins grande préférence pour le crédit. Ainsi, l’Empire romain privilégiait le paiement cash (en métal précieux), tandis que le Moyen Âge européen développait une préférence pour le crédit. Plus récemment, l’abandon de l’étalon-or, en 1971 a engagé l’Occident dans une nouvelle phase de préférence pour le crédit, et donc la monnaie virtuelle. En devenant excessive, cette inclination a conduit aux dérèglements actuels. Dans le passé, elle a fait chuter des empires. Ainsi de Rome, qui avait fini par abandonner la préférence pour le cash.
   Pour Graeber, par ailleurs anarchiste patenté (heu... c'est une insulte?), la propension des économistes à négliger le rôle fondamental de la dette dans les sociétés est liée à un déni: ils n’aiment pas reconnaître que le crédit est au cœur des relations de domination. L’endettement est une construction sociale fondatrice du pouvoir. Les débiteurs insolvables ont nourri l’esclavage. Aujourd’hui, les emprunteurs pauvres, qu’il s’agisse de particuliers des pays riches ou d’États du tiers-monde, sont enchaînés aux systèmes de crédit. Forts de ce déni, les économistes entretiennent une vieille illusion : celle que l’opprobre est forcément à jeter sur les débiteurs, jamais sur les créditeurs. (...)


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Luc Desle

lundi 20 décembre 2010

"Cette fille de peep-show détestait le tabac". Jacques Damboise in "Pensées à contre-pets"



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"Hier c'était dimanche et le dimanche, c'est con/sacré"


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"P'tain d'ascenseur social... Plus moyen de le dégripper... 
Que faire?"

http://biblio.alloprof.qc.ca/PagesAnonymes/DisplayFiches.aspx?ID=7074


Régression sociale sans précédent en Europe

(...) Une tempête de régression sociale sans précédent souffle très fort sur l'Europe. Elle risque d'emporter dans son sillage l'ensemble des acquis sociaux arrachés de haute lutte par des générations successives. Les classes dirigeantes européennes mènent une véritable guerre contre toutes les avancées sociales, petites et grandes. Elles sont l'ennemi déclaré du progrès. Aucun domaine n'est épargné : Emploi, Durée du travail, Retraite, Famille, Santé, Éducation, Libertés publiques etc. 
   La régression est générale et totale. Le spectre de la misère hante l'Europe. Les ouvriers et les salariés doivent se dresser unis contre cette bourgeoisie rétrograde qui les exploite et les réduit à mener une existence inhumaine.

Mohamed Belaali
(La suite sur:)

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"Moi je m'en moque, les robes, on me les prête 
et on me paye ma prestation, alors..."



La mode à petits prix (pour les pauvres), c’est fini ?!

Au Bangladesh, dont on ne parle généralement que pour ses catastrophes naturelles, les ouvriers du textile se rebellent contre un gouvernement qui a promis une revalorisation du salaire minimal. Ici ou ailleurs, les prix vont augmenter (zut et crotte)...


(...) Au Bangladesh, les marques occidentales devront payer leurs ouvrières 3000 taka au lieu de 1662 taka (un vrai scandale). Un mois pour trente euros. Les râleuses se plaignent. Le gain attendu ne les satisfait pas (quelle ingratitude ces gueux) [source]. Un phénomène plus général se dessine dans le textile, et au-delà dans les industries utilisant une main d'œuvre bon marché et peu formée. Beaucoup de multinationales ont abandonné les provinces maritimes de la Chine, au profit de nouvelles terres de conquête (ben voyons... Et la Lune, les gars, vous y avez pensé?). Mais les bassins d'emploi se raréfient. Dans les pays actuellement 'en phase d'exploitation' (Chine, Vietnam, Bangladesh, Inde) une tendance au renchérissement des coûts de production se manifeste [source]. Qu'elles répriment ou non les ouvrier(ère)s protestataires, les autorités de chacun de ses pays affrontent les conséquences de cet effet d'aubaine, c'est-à-dire la flambée des prix des matières premières ou du logement. Parfois (doux euphémisme) s'ajoutent les contrecoups de la pollution ou de la dégradation de l'environnement. (...)

Bruno de Larivière

La suite à lire sur:


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"Depuis que mes Maîtres s'en mettent plein les fouilles,
 je ne me sens plus pisser..."



La rigueur sans fin
   Cette « discipline » monétaire n’a d’autre déclinaison pratique que la mise en place, à l’échelle européenne, de drastiques politiques d’austérité. Elles soulignent l’absurdité de la proposition franco-allemande qui vise à sauvegarder le statu quo monétariste : en effet, elles sont à la fois injustes et inefficaces, comme nous l’avions fait remarquer dans un précédent article.
   Injustes, elles supposent de faire payer par les salariés les dégâts provoqués par la finance, en induisant de fortes réductions des dépenses sociales, des salaires et des services publics, participant à l’augmentation des inégalités. Inefficaces, les politiques budgétaires restrictives vont lourdement peser sur la demande et l’activité, les recettes fiscales vont chuter et les soldes publics ne seront guère améliorés. Les ratios de dette seront dégradés, comme en Irlande, et les marchés… ne seront pas rassurés, comme le rappellent plusieurs économistes dans leur Manifeste des économistes atterrés.
Marcher sur la démocratie
   Tout se passe comme si les crises grecque et irlandaise étaient l’occasion pour les élites financières et les technocraties européennes de mettre en œuvre la « stratégie du choc », en profitant d’une situation exceptionnelle pour approfondir l’agenda néolibéral… Alors même que la crise est le fait des politiques menées ces vingt dernières années, dont la réforme annoncée du traité de Lisbonne apparaît comme la radicalisation.
   Et pour faire avaler la pilule amère à des peuples échaudés par les excès de la finance, les gouvernements français et allemands envisagent l’option d’une procédure simplifiée, rendue possible par le traité de Lisbonne pour opérer sa propre modification, et qui s’applique aux aménagements « techniques ». Un des arguments avancés étant l’urgence de disposer du nouveau mécanisme dès juin 2013.
   Le rapport Van Rompuy devrait se prononcer sur les modalités de révision du traité. Il faut noter que s’ils se prononcent pour une procédure simplifiée, les chefs de gouvernements prendront la responsabilité de la modification, avec l’approbation du parlement européen. Le texte devra ensuite être ratifié au niveau national selon les modalités prévues (vote du parlement, voire référendum).
parJacques(son site)mercredi 15 décembre 2010 - 
article en entier à lire sur:


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   Auteur de l’expression « Le 21ème siècle sera religieux ou ne sera pas », André Malraux, ministre de la culture du général de Gaulle, avait précisé sa pensée (Source : Valeurs Actuelles n° 3395 paru le 21 Décembre 2001- Dossier : Un siècle religieux)
   "C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine ». (André Malraux, le 3 juin 1956).
   Un simple rappel, André Malraux fut militant antifasciste aux côtés des Républicains espagnols contre les nationalistes de Franco pendant la guerre d’Espagne en 1936.
Gérard Bellec



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Jacques Damboise

mercredi 23 juin 2010

"Quand les brebis enragent, elles sont pires que les loups." proverbe français. evene.fr


 (La célèbre danse de Groucho Marx "Y'a d'la joie")

Photo prise quelques minutes avant que le célèbre comique ne soit interné par des membres de la Secte des Économistes Responsables et Pisse Vinaigre.
  

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QUELQUES CHIFFRES DE NOS ÉLITES EUROPÉENNES QUI SE GOINFRENT AU PASSAGE, TOUT EN DEMANDANT AUX PEUPLES EUROPÉENS DE FAIRE DE PLUS EN PLUS DE CRANS A LEUR CEINTURE.


Lu sur le site:

Site que je recommande pour ses excellents articles journaliers.

Eurocrates, chapeau la retraite ! A la rigueur / mercredi 23 juin par Jacques-Marie Bourget

(...)
   
   À Bruxelles, où chacun bénéficie de primes, de mois doubles et d’un régime dérogatoire, notamment en matière fiscale, la crème de la crème, ce sont les 129 plus hauts fonctionnaires, nababs indispensables au si parfait fonctionnement de l’Europe. Ceux-là bénéficient d’une retraite à taux plein au bout de seize années seulement. Alors que leurs cotisations sont versées non par eux mais par la déesse Europe. Un mandat de cinq ans suffit à leur assurer une pension de 5000 euros par mois.


   C’est le cas du Français Jacques Barrot, qui nous honore en roupillant à Bruxelles (après son premier mandat, il avait déjà droit à 4728,20 euros de retraite). Au terme de seize années de dur labeur, ces membres du groupe des 129 peuvent espérer entre 12500 et 14000 euros mensuels, en fonction de leur dernier salaire « compensé » à 70%.
    Ajoutons que notre "ami" pantoufle aujourd'hui au Conseil Constitutionnel. Chacun de ses membre (9 auxquels s'ajoutent de plein droit les anciens présidents de la République) touche 12 000 € (en 2009) brut par mois.

   
   Prenons le cas d’un fantôme polyglotte, José Manuel Barroso, président de la Commission. Après les cinq premières années de son exemplaire gestion, et avant de repiquer pour un tour, il pouvait escompter 5 220 euros par mois, une prime de déménagement de 24422 euros (alors que tous les frais sont payés) et un parachute de439609 euros. Et pendant trois ans, Barroso percevra entre 40 et 65% de son dernier salaire, qui bat des records avec 29504 euros.


   Au casino communautaire, c’est la blonde suédoise Margot Wallström, vice-présidente de la Commission depuis 1999, qui peut envisager le gros lot : 1,89 million d’euros rien qu’en indemnité de départ et golden parachute ! Normal puisque le salaire moyen de cette caste d’élite est de 21269 euros par mois. (...)

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"Fais ce que je dis, ne fais pas ce que je fais" 

proverbe français parmi le plus populaire des élites de tous les temps et de tous les pays.

Et une dernière pensée, pour la route:

"Les gens ne mangeraient pas de caviar 
s'il était bon marché" 

Groucho Marx.


"That's all folks for today"

Luc Desle