Un vieux Lassalvy de derrière les fagots. L'époque où les Belles qu'il croquait portaient un joli nez retroussé, une choucroute et de jolis dessous. Et où les Messieurs arboraient de mignons noeuds papillons, et toujours le même intérêt névrotique pour le beau sexe qu'aujourd'hui.
Cela n'est d'ailleurs pas sans rappeler le petit billet de mardi où l'on voit une population issue de la même classe sociale: ici nous sommes dans la Bourgeoisie bon enfant, celle des surprises-parties un rien lestes.
Remarquons qu'à l'époque, la Femme est toujours l'objet de l'intérêt érotique de plusieurs hommes à la fois - car quand il y en a pour 1, n'est-ce pas? - et que c'est par hasard qu'elle éveille leur désir.Nous sommes entre gens du monde...
Cela n'est d'ailleurs pas sans rappeler le petit billet de mardi où l'on voit une population issue de la même classe sociale: ici nous sommes dans la Bourgeoisie bon enfant, celle des surprises-parties un rien lestes.
Remarquons qu'à l'époque, la Femme est toujours l'objet de l'intérêt érotique de plusieurs hommes à la fois - car quand il y en a pour 1, n'est-ce pas? - et que c'est par hasard qu'elle éveille leur désir.Nous sommes entre gens du monde...
(Et comment pouvais-je savoir, Moi, qu'il ne s'agissait pas d'un déguisement? J'ai trouvé ça trop chou de sa part de m'inviter chez lui!)
Beau petit exemple d'humour espagnol des années 70, avec couleurs en prime. Certes, la plaisanterie n'est pas nouvelle - elle est même un rien naïve, via cette jeune écervelée - mais cette plaisanterie prend, ici, une tournure guillerette, anodine, presque banale. Je laisse aux mauvais esprits le soin de penser à mal...
Ceci dit, quant on voit où est placée la main du gorille, on se dit que le dessinateur, l'air de rien, exagère.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire