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"La laïcité sera religieuse ou ne sera pas"
Contre la Laïcité française six religions font bloc
(...) Elles sont venues, elles sont toutes là ! Il ne manque que la Scientologie à l’appel. C’est à désespérer ! En chœur, six religions signent une tribune commune dans Le Parisien du 29 mars, pour défendre, disent-elles, « la laïcité comme faisant partie du bien commun de notre société ». On peut être tranquille : la Laïcité est dans de bonnes mains. Ce sont ses adversaires désormais qui la défendent : après le Front national, son ennemi intime historique, ce sont ses victimes qui courent à son secours. Quand les loups les encerclent, on peut être sûr que les moutons sont bien gardés ! (...)
Paul Villach jeudi 31 mars 2011
opinion ( à laquelle nous souscrivons) à lire sur:
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(Le MEDEF ou la N contre les travailleurs?)
Dites madame Parisot, à quoi il pourrait ressembler votre prochain lipdub ?
(...) Ces derniers temps lorsque Laurence Parisot prend la parole c'est plutôt pour fustiger : le coût du travail, évoquer la sortie des 35H00, la baisse des cotisations chômage des employeurs, trouver des moyens pas chers pour financer l'emploi des jeunes ou se féliciter des 500 000 ruptures conventionnelles de CDI (dont de nombreuses sont utilisées par certaines entreprises comme un système de préretraite collectif ) financé par l'Unedic et bien entendu de refuser un principe de partage équitable des bénéfices avec les salariés ... que de nous parler de l'immense bonheur que les salariés ont chaque jour à venir au travail ! (...)
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(Salariés fous de joie après avoir obtenu de leur entreprise
une baisse de 0,01 cents sur le prix du café
pris à la machine)
"Les entreprises ne savent plus ce qu'elles font"
Source : La Tribune.fr -
(...) Dans l'interview qu'il nous a accordée à l'occasion de la sortie de son livre "Lost in Management", le sociologue François Dupuy explique que "les entreprises s'enfoncent dans un jeu perdant-perdant avec leurs salariés". (...)
(...) Vous lancez une sorte (pourquoi une sorte? C'en est un) de cri d'alarme dans votre livre "Lost in Management". Faut-il faire le procès du management des trente dernières années ?
Non pas le procès (quoi que?), mais amener les entreprises à regarder les choses en face. Elles sont en train de se fourvoyer (merci, Monsieur le sociologue, on n'avait pas compris tout seul). Pour faire face à la nécessité de garder tous les comportements sous contrôle, surtout avec la crise, les entreprises ont accentué leurs moyens de coercition. Tous ces process (?), ces systèmes de "reporting" (?), c'est de la coercition destinée à garder les salariés sous contrôle. Or le résultat obtenu produit l'effet inverse : les entreprises perdent le contrôle d'elles-mêmes.
C'est le constat que j'ai pu faire au terme de mes missions de terrain et de 800 entretiens. Il s'agit en fait de ce que j'ai nommé "un taylorisme relooké". Cette idée qui préside à l'administration publique dans laquelle on cherche à appliquer toutes les règles et qui revient à une forme de grève du zèle. En anglais, d'ailleurs, on parle de "working to rule". Au lieu de "motiver" les salariés, de les amener à s'engager pour leur entreprise, ces techniques provoquent le retrait et la rébellion active ou passive. Plus l'entreprise (et la société? Et la République? et la Démocratie?) cherche à contrôler et à mettre la pression, plus les salariés, cadres y compris, se réfugient dans des investissements alternatifs (ouah, le terme affectueux!), la famille par exemple, qui viennent compenser la dureté du monde du travail.
Mieux : le délire des processus, des "reportings" et des indicateurs finit par recréer des zones de liberté pour les salariés tant ils deviennent contradictoires les uns avec les autres et laissent ainsi les acteurs libres de décider ce qu'ils doivent appliquer ou non.
Au final, on assiste à un "mix" d'anarchie et d'obéissance sélective (je choisis ce à quoi je décide d'obéir) qui mène au désinvestissement. Cette bureaucratie annule de fait le rôle de l'encadrement de proximité qui n'a du coup plus d'effet de levier. Les entreprises s'enfoncent dans un jeu perdant-perdant avec leurs salariés. (...)
interview à lire sur:
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"Les Français me fatiguent, ils se plaignent tout le temps.
C'est pas comme les Italiens..."
Un sondage du CSA sur le pouvoir d'achat des Français révèle leur perception morose...(Quelle surprise!)
(...) Quatre ans après l’élection d’un «(p)résident du pouvoir d’achat», les frais quotidiens continuent de grimper (non?). A tel point qu’ils pensent réduire leurs dépenses de base: le chauffage, le carburant et même l’alimentation pour un tiers d’entre eux (on va se nourrir de l'air du temps?). C’est ce que révèle un sondage CSA/20Minutes (vraiment besoin d'un sondage pour comprendre?), alors que l’Insee annonçait la semaine passée que le pouvoir d’achat avait… augmenté de 1,2 % en 2010. «Avec les dépenses alimentaires, on touche au quotidien, à ce qu’il y a de plus vital», estime (nous, on ne l'estime pas trop...) Jérôme Sainte-Marie, directeur de CSA (et obligé, lui aussi, de se serrer la ceinture?). «Un tiers des Français qui réduit ce budget-là, c’est la preuve d’un malaise profond.» (puissante déduction... Quelle Grande Ecole il faut faire pour être directeur du CSA, déjà?) (...)
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"Dis, M'an, tu me laisseras jamais tomber, hein?- Tant que j'ai pas de repreneur, c'est juré"
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"Dis, M'an, tu me laisseras jamais tomber, hein?
- Tant que j'ai pas de repreneur, c'est juré"
Un bébé gorille âgé de deux semaines joue avec sa mère au zoo de Guadalajara, Mexique, le 31 mars 2011.
Crédit : H. GUERRERO / AFP
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Jacques Damboise
(en l'absence de Benoît Barvin)
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