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(Une femme nue - et qui n'a rien à y faire - s'est cachée dans ces pages.
Sauras-tu la retrouver?)
Thanassis Krikis × Michaela Hlaváčková -
L'Officiel Hellas November 2008 - ARISTOCHIC - 018
"Désolée mais, au dessert, ce sera fromage OU dessert...
La crise, que voulez-vous...
- Shocking!"
Le Quai d'Orsay à la soupe populaire ?
Le groupe Marly récidive et dénonce la grande misère de la diplomatie française. Avec un peu d'exagération et peut-être des arrière-pensées...
(...) Le budget du ministère des Affaires étrangères ne représente que 1,2 % du budget global de l'État. Le "département" n'emploie que 15 000 personnes, dont seulement 5 000 fonctionnaires d'État titulaires. Une minuscule PME comparée, par exemple, au mastodonte que constitue l'Éducation nationale. Les réductions de personnel y sont particulièrement compliquées, car les agents sont répartis sur tout le réseau. On est en présence de centaines de petites structures et la mutualisation est difficile. Une partie des dépenses du Quai est de surcroît incompressible. Et les contributions obligatoires (opérations de maintien de la paix, organisations internationales) augmentent plus vite que le budget.
Il ne fait aucun doute que, si la France veut avoir une politique étrangère au niveau des ambitions affichées et conserver un réseau d'influence planétaire, elle ne peut continuer de rogner sur les dépenses de ce ministère régalien par excellence. On est manifestement au bout du ressort et Alain Juppé en a parfaitement conscience. Mais la démarche des "Marly" est-elle politiquement neutre ? On peut légitimement en douter compte tenu de la virulence du ton et du timing de l'opération. Certains de ses promoteurs pensent peut-être plus à la présidentielle de 2012 qu'à l'avenir du "département"... (...)
PIERRE BEYLAU
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(Par pure provocation, les indignados hongrois
se mirent à s'empiffrer de hamburgers...)
(...Ce qui provoqua des indigestions par milliers.
Et supprima, ainsi, commodément,
des opposants au régime...)
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Hongrie:
"taxe-hamburger" à partir de septembre
(...) Le Parlement hongrois, où le parti du Premier ministre conservateur, Viktor Orban, dispose d'une majorité des deux tiers, a voté l'instauration, à partir de septembre, d'une "taxe-hamburger", ciblée contre les aliments et boissons à haute teneur de sucre, sel, hydrate de carbone ou caféine.
La décision du Parlement hongrois, adoptée par 255 voix pour, 54 contre et 36 abstentions, concernera en premier lieu les biscuits salés ou sucrés, les boissons énergétiques et les gâteaux pré-emballés (ceci dit, si ça pouvait faire moins manger de cochonneries, hein? Mais, bon, c'est pas si simple...).
Le montant de la taxe sera de 5 forints/litre pour les boissons, de 250 forints/l pour les boissons énergétiques et de 100 à 200 forints/kg pour les biscuits et les gâteaux. Un euro vaut à peu près 270 forints.
Après ses taxes controversées sur les banques, les sociétés de télécommunications, d'énergie et de distribution, le gouvernement hongrois avait annoncé mi-mars l'introduction d'une "taxe-hamburger".
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"J'me baladerais bien comme ça, mais on pourrait croire
qu'il s'agit d'un niqab blanc"
Françoise Laborde vue à la télé,
malade au CSA
Moqueries et agacements au Conseil supérieur de l'audiovisuel devant le drôle d'arrêt maladie de l'ex-journaliste de France Télévisions.
(...) Officiellement, Françoise Laborde est empêchée de travailler. Le 6 juin, dans un mail que Le Point s'est procuré, elle informe les services du CSA qu'elle s'est cassé l'épaule en tombant d'un "prunier" (sic). Ses médecins lui recommandent de "ne pas bouger" jusqu'au 11 juillet. Elle est bien chagrine mais se doit d'annuler sa présence dans les deux groupes de travail qu'elle anime. (...)
(...) Et, effectivement, on ne voit plus Françoise Laborde au CSA. En revanche, dans les médias, c'est une autre histoire ! La conseillère multiplie les apparitions et a l'air de se porter divinement bien. Au CSA, ses drôles d'absences suscitent moqueries et agacements. Le 21 juin, alors qu'elle est censée souffrir en attendant que son épaule se répare, la presse rapporte qu'elle était présente, à Bordeaux, au Café maritime à l'occasion d'une soirée de dégustation de bons vins...
Rebelote le 23 juin, à la "Fête de la fleur" qui clôt le salon Vinexpo de Bordeaux en présence d'Alain Juppé. Là, c'est une Françoise Laborde pimpante, en robe de soirée, qui apparaît au bras de son mari, Jean-Claude Paris. Le Tout-Bordeaux des exploitants est présent, ainsi qu'une caméra de France 3 Aquitaine. La conseillère donne même une petite interview... qui n'échappe pas à la vigilance des services du CSA. On l'aperçoit aussi lors d'un déjeuner donné au Salon du Bourget... "Françoise Laborde a un carnet mondain mieux rempli que son carnet de santé", ironise-t-on chez ses collègues. (...)
EMMANUEL BERRETTA
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"Si on a vu Françoise Laborde?
Ben oui, elle vient ici tous les jours nous faire un câlin"
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Luc Desle
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