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(et re Lefebvre... désolé)
"L'essentiel, pour ce panier, c'est d'en parler..."
Piètre bilan pour « le panier des essentiels »
(...) Lancé en avril par le gouvernement, le « panier des essentiels » manque son but. Lors d'une conférence de presse, Thierry Damien, le président de Familles rurales, a souligné le « piètre bilan » de ce « panier » censé promouvoir des produits de qualité à bas prix. En principe, chaque enseigne doit proposer toutes les semaines à ses clients dix produits de qualité pour environ 20 €, dont un fruit, un légume, une viande, un poisson, un fromage ou un produit laitier. « Il est trop contraignant, car les produits sont peu visibles en magasin. Il faut souvent se connecter sur le site Internet de l'enseigne pour connaître les produits concernés », a critiqué Thierry Damien. D'après l'Observatoire des prix de l'association, ce « panier des essentiels » est aussi trop rare : seulement un magasin sur trois l'a mis en place. (...)
Observatoire des prix, Familles rurales, 21 juin 2011.
Brèves2011-06-24
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"J'entraîne mes abeilles à attaquer
le Ministère de l'Agriculture...
Je pense que ça va marcher"
L'autorisation donnée par le ministre de l'Agriculture
en juin provoque la colère des apiculteurs
qui jugent ce produit très toxique pour les abeilles...
(...) L'Union Nationale de l'Apiculture Française (UNAF) a saisi vendredi le Conseil d'Etat pour obtenir l'annulation en référé de l'autorisation de mise sur le marché du pesticide Cruiser OSR sur les cultures de colza, invoquant son «extrême toxicité pour les abeilles». Dans leur demande d'annulation immédiate de l'autorisation de ce produit délivrée par le ministre de l'Agriculture le 3 juin dernier, les apiculteurs précisent qu'il faut interdire ce pesticide «avant les prochaines opérations d'enrobage des semences puis des semis du mois d'août», selon leur communiqué.
Commercialisé par le groupe suisse Syngenta Agro, le Cruiser OSR est un pesticide systémique utilisé en enrobage de semences et est véhiculé par la sève des plantes jusque dans les fleurs. Il est composé de trois substances actives, l'insecticide thiaméthoxam et les fongicides fludioxonil et métalaxyl-M «d'une extrême toxicité pour les abeilles», selon l'UNAF.
L'autorisation de ce produit sur le colza «est d'autant plus grave que le colza restait, avec le tournesol, une des rares cultures non traitées d'un attrait majeur pour l'avenir du cheptel apicole français», a souligné l'association, qui a le soutien de 188 parlementaires ayant signé la Charte du Comité de soutien des élus à l'abeille et aux apiculteurs.
© 2011 AFP.
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"- Alors comme ça, on n'a ni le droit de tricher,
ni même celui de jouer aux cartes.
Vous savez ce que vous êtes?
Un Dictateur, Monsieur!
- Répétez ça, pour voir? Répétez ça!
- Allons, allons, mes enfants, on se calme..."
Prof licencié pour avoir laissé ses élèves jouer aux cartes
ÉDUCATION - Des professeurs réagissent après le licenciement d'un professeur du centre de formation des apprentis à Bourges (Cher), pour avoir laissé ses élèves jouer aux cartes le dernier jour de classe...
(...) C’est plutôt habituel. Le dernier jour de la classe arrive, le programme est bouclé, les élèves ne sortent pas de cahiers, ni de bouquins de leur sac mais plutôt des jeux ou des DVD. Mais, condition sine qua none à cet instant de détente, les professeurs doivent être à jour sur le programme de l’année.
Seulement voilà, dans le cas du professeur de sciences des risques professionnels du centre de formation des apprentis, il en a été autrement. Licencié par la direction de l’établissement après avoir laissé ses élèves jouer aux cartes le dernier jour de classe, le prof se défend en avançant que ses élèves «n’avaient plus aucun examen à passer» et c’est pour cela qu’il avait décidé de les laisser «jouer tranquillement aux cartes», confiait- il à Libération, ce mardi.
Mais alors que l'ambiance de la classe était plutôt décontractée, le directeur de l’établissement et son adjointe, qui passaient au même instant dans les couloirs, n’ont pas approuvé ce moment de loisirs, et ont pris rapidement la décision de licencier l’enseignant. Le professeur lui, n’en revient toujours pas et confiait àLibération qu’il était pour lui «naturel de passer, ensemble, ce moment de convivialité, d’autant que le matin même, nous avions eu une discussion sur les parcours et perspectives de chacun.» (...)
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