+++
«Le plus lourd fardeau,
c'est d'exister sans vivre.»
(et d'être trop payé pour ça?)
+++
clicketbrick.fr
"Le Seigneur Vador prenait ses affidés pour des billes...
Mais c'était dans le contrat moral qu'ils n'avaient
signé, ni les uns, ni les autres"
+++
"Le Seigneur Vador prenait ses affidés pour des billes...
Mais c'était dans le contrat moral qu'ils n'avaient
signé, ni les uns, ni les autres"
+++
Sûreté nucléaire en France:
Les inspections de l'ASN sont-elles efficaces?
(on pose vraiment la question?)
(...) Interrogé par 20Minutes, Thomas Houdré, à la tête de la direction des centrales nucléaires de l’ASN, considère que l’autorité dispose «d’un panel d’outils qui lui permettent de se faire entendre». Qu’il s’agisse d’inspections programmées ou déclenchées à la suite d’un incident, l’ASN est chargée de contrôler à la fois l’organisation des sites, en prenant en compte les compétences, la formation et le recrutement du personnel, et le matériel «en fonction des enjeux de sûreté», précise Thomas Houdré.
Les inspecteurs de l'ASN avaient ainsi constaté en 2008 des lacunes dans la façon dont le personnel du centre de traitement et de conditionnement de déchets de faibles activités (Centraco) de Marcoule était sensibilisé aux règles de sécurité. Un constat suivi d’effets? A la suite des inspections, l’ASN fait «des demandes d’amélioration, formalisées par une lettre, explique Thomas Houdré. Dans cette lettre, l’ASN donne à l’exploitant un délai de réponse et de mise en œuvre des actions préconisées. S’il tarde à répondre, on peut retourner en inspection et voir l’avancement des actions», explique Thomas Houdré.
Si l’exploitant ne réagit toujours pas, l’ASN «a toute latitude pour prendre des mesures contraignantes, précise Thomas Houdré. Ce sont des mesures administratives via des décisions officielles, des mises en demeure devant la justice qui soumettent l’exploitant à des sanctions pénales, et enfin des suspensions temporaires ou définitives de l’activité.» C’est ce qui est arrivé en 2008 sur le site du Tricastin après un dépassement de la limite de rejet mensuelle de carbone 14 gazeux: «L’ASN avait alors suspendu le fonctionnement de l’installation Socatri», poursuit Thomas Houdré.(...)
Lire sur:
+++
"Si toi aussi tu veux devenir mineur
et mourir écrabouillé, ou phtisique,
et de toute façon être payé que t'chi,
signe tout de suite
le registre anté-mortem"
et mourir écrabouillé, ou phtisique,
et de toute façon être payé que t'chi,
signe tout de suite
le registre anté-mortem"
Il est bien loin,
le "miracle" d'Atacama
(...) Propulsés au rang de stars planétaires après leur médiatique sauvetage, qui a tenu en haleine, le 13 octobre 2010, des millions de téléspectateurs, que sont devenus les 33 mineurs chiliens de San José, à 800 km au nord de Santiago ? A leur sortie de la mine, après un calvaire de 69 jours coincés sous terre, sans eau ni nourriture, ils avaient été reçus comme des héros par le président de droite Sebastian Piñera. Au milieu du désert lunaire d'Atacama les attendaient leurs familles, 2 000 journalistes, et la célébrité... (...)
(...) Mais, près d'un an plus tard, le conte de fées s'est évanoui. La vague médiatique est retombée et la majorité des mineurs va mal. A 700 mètres sous terre, ils étaient unis, organisés, dotés d'un moral à toute épreuve. A la surface, ils sont divisés, déboussolés et déprimés.
Sept sont toujours en congé-maladie et quinze au chômage. A Copiapo, près de la mine d'or et de cuivre de San José, qui s'est écroulée le 5 août 2010, le plus jeune, Jimmy Sanchez, 20 ans, se sent "triste, seul et angoissé". Seuls quatre d'entre eux sont redescendus dans les mines. Beaucoup, comme Ariel Ticona, Richard Villarroel ou encore Renan Avalos, n'ont pas d'emploi stable et enchaînent les petits boulots.
"Les gens croient que nous sommes devenus millionnaires et nous regardent comme si nous étions des profiteurs et des pleurnicheurs", se lamente Osman Araya. A 31 ans, il a ouvert un petit commerce ambulant de fruits et légumes, avec le seul argent qu'il a touché : un chèque de 10 000 dollars offert à chaque mineur par un milliardaire chilien. Dans la mine, les "33" s'étaient juré que l'argent des interviews serait redistribué à parts égales entre tous. Osman affirme que "cela ne s'est jamais fait". (...)
Lire la suite sur:
+++
"Je viens de gagner le droit de participer à un loto.
La chance que j'ai, hein?
Je n'en reviens toujours pas.
Merci... heu... Mon Dieu?"
Une loterie organisée
pour les SDF de Rotterdam
(...) Les SDF de Rotterdam, aux Pays-Bas, peuvent désormais trouver un lit pour la nuit s'ils gagnent un loto organisé pour départager les demandeurs. La grande ville portuaire est confrontée à un déficit d'abris disponibles depuis la fermeture d'un centre, à la fin du mois d'août. Les six autres lieux d'accueil de la ville, avec quelque 200 lits, ne suffisent pas pour répondre à la demande (et si on en construisait d'autres? Ceci dit, je dis ça, moi, mais je n'y connais rien, hein?). (...)
(...) C'est pour cette raison qu'Havenzicht, à Kralingen, dans les faubourgs, a décidé d'organiser un jeu de hasard. C'est, selon la direction de ce centre, la manière la plus juste pour départager les candidats (ben voyons...). Chaque soir, dix à quinze demandeurs doivent être renvoyés, a expliqué un collaborateur au quotidien gratuit Métro. (...)
Benoît Barvin
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire