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Pensées pour nous-mêmes:
(ACCOMPAGNE TOUS LES MOUVEMENTS DE LA VIE,
MÊME LES PLUS VIOLENTS)
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"Comment ça, Sophie?
Vous ne savez pas lire?"
Jouets toxiques : ça suffit !
Michèle Rivasi
Députée européenne
(...) En cette période d'après Noël, on constate une fois de plus que près de 20% des jouets sont renvoyés aux fabricants à cause d'un risque chimique (source : RAPEX, le site référençant les produits rappelés dans l'UE). (...)
(...) Les études qui mettent en garde contre la nocivité de ces substances se multiplient, et pourtant, l'empoisonnement se poursuit. Le jeune enfant dont l'organisme est en développement, est plus vulnérable que l'adulte en raison notamment de son métabolisme et son système immunitaire immature. Il est également plus exposé à travers ses comportements.
Il y a peu, nous apprenions que la mythique Sophie la Girafe, que l'on retrouve immanquablement dans la bouche des moins de trois ans, contient des dérivés pétroliers (HAP) ainsi que des substances susceptibles d'être transformées en nitrosamines, des dérivés formés à partir des nitrates, classés cancérogènes probables ou possibles selon le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Les phtalates, ces assouplissants de plastiques qui composent beaucoup de jouets en PVC, sont des perturbateurs endocriniens. Ils peuvent provoquer chez les enfants une puberté précoce, qui affectera ces derniers tout au long de leur scolarité. (...)
Lire sur:
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"Je voirrre bouleverrrsements en rrraison
tempête magnétique...
Quoi vous vouloirrrr savoirrr d'autrrre,
Rrrésident?"
Quelles peuvent être les conséquences
de la tempête magnétique ?
(...) Après la survenue d'une éruption solaire dimanche, la planète Terre devrait être bombardée de particules magnétiquesjusqu’à mercredi, avec un pic de projections mardi 24 janvier, prévient l’Administration nationale des océans et de l’atmosphère (NOAA) des États-Unis. Physicien au centre de prévision météorologique spatiale de la NOAA, Doug Biesecker explique : L'éruption elle-même n'avait rien de spectaculaire. Mais elle a projeté dans l'espace une masse coronale à la vitesse phénoménale de 6,4 millions de km/h". (Ouahhhh!!!!, cri du gars qui n'y connaît rien mais fait comme si)
L’éjection de masse coronale produit un nuage de plasma conçu dans la couronne solaire. Cette "tempête géomagnétique" est un événement de catégorie 3 sur une échelle qui en compte 5. Elle est donc considérée comme "forte" mais pas "sévère" selon la NOAA . (...)
(...) Les éruptions solaires de cette robustesse peuvent provoquer de graves perturbations des télécommunications au sol et dans l'espace ainsi que des systèmes de distribution électrique, prévient la NASA. En effet, les systèmes informatiques embarqués à bord de satellites ainsi que dans les communications radio au niveau des pôles risquent d’être brouillés. Autre effet (?) : des aurores boréales autrement dit des phénomènes lumineux, pourront être admirées en Europe et en Asie. (...)
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"Y'a, paraît-il, d'la concurrence française...
Elle est où?"
"The Divide"
Le jour le plus sombre
du cinéma français
(...) Ce (...) 25 janvier sortent en effet au moins quatre films qui figurent, à bon droit, parmi les plus attendus par quiconque s’intéresse à l’art du cinéma contemporain.
Soit trois figures principales de trois générations de ce que le cinéma français a créé de meilleur depuis 40 ans, le nouveau film de Chantal Akerman, La Folie Almayer, le nouveau film de Patricia Mazuy Un sport de filles et le nouveau film de Rabah Ameur-Zaïmèche Les Chants de Mandrin. A quoi il faut ajouter la découverte d’un film aussi remarquable sur le plan de ses choix de mise en scène que pour ses relations à l’actualité, Tahrir, Place de la Libération de Stefano Savona.
Et ce ne sont que les quatre œuvres à nos yeux les plus dignes d’intérêt parmi les 13 nouveautés, où figurent aussi une machine de guerre hollywoodienne (Sherlock Holmes 2), une –épouvantable– machine pseudo-auteuriste tout aussi formatée par Hollywood (The Descendants), deux autres mélos familialistes (Café de Flore et Les Papas du dimanche), une comédie familialiste (Jack et Julie), un autre film d’auteur français (L’Oiseau d’Yves Caumon, prometteur mais pas encore vu)… Et, en plus de ces 13-là, la ressortie de The Artist auréolé de son succès américain.
L’inévitable résultat de cette situation est une boucherie, d’où aucun des films un peu singuliers n’a de chance de s’en sortir. (la faute à qui? aux distributeurs? aux producteurs? à pas de chance, aussi, évidemment...) (...)
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"Heu...
Vous n'auriez pas quelque chose de plus fort...
Avec des bulles... et un peu d'alcool?"
Le mystère de la pénurie
(...) (A)lors que la demande pour le lait et les produits laitiers bios affiche une croissance de 10% par an depuis 2000, et même de 17% entre janvier et octobre 2011, la production accuse une baisse.
Outre la pénurie qui affecte sérieusement les Etats du sud-est, et globalement ceux du nord-est et de toute la côte est, les prix au détail commencent déjà à grimper. On s'attend à une augmentation d'au moins 10% en 2012. Ce serait le minimum pour que les fermiers bios puissent continuer à nourrir leurs vaches.
Voici comment le NYT résume l'affaire :
« La principale raison de cette pénurie est la suivante : alors que les prix du grain et le foin bios utilisés pour alimenter le bétail ont augmenté dans des proportions fulgurantes, le prix du lait payé aux fermiers n'a pas bougé. Les agriculteurs diminuent donc les rations de leurs bêtes, et la production baisse. Pour le coup, de moins en moins d'exploitations laitières conventionnelles choisissent de se convertir à la production bio. »
Sécheresses et inondations à répétition expliquent en partie les augmentations du fourrage, mais la raison principale réside essentiellement dans l'accaparement du maïs pour la fabrication de l« éthanol et des agro-fuels. Un autre sujet sensible !
(...) Evidemment, tous les producteurs laitiers sont touchés, bios et conventionnels. Mais comme la demande globale de lait a plutôt tendance à chuter aux Etats-Unis – moins 2% en 2011 –, les difficultés affectent surtout le secteur bio, qui cherche toujours son modèle économique. (...)
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Benoît Barvin
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