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Pensées pour nous-mêmes:
(EMPRUNTE TRÈS SOUVENT LE CHEMIN DU CŒUR
MÊME S’IL EST CAHOTEUX)
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(volontaires chinois prêts à aider leurs frères
tibétains à brûler en enfer
refaire la décoration de leurs temples)
Chine: nouvelle immolation
d'un moine tibétain
© 2012 AFP
(...) WASHINGTON (AFP) - Un moine tibétain s'est donné la mort en s'immolant par le feu vendredi pour protester contre la présence de forces de sécurité chinoises dans son monastère, a annoncé l'organisation de défense des Tibétains Free Tibet.
Tamchoe Sangpo s'est immolé par le feu après avoir échoué à convaincre les forces de sécurité chinoises de quitter son monastère situé dans la province de Qinghai, proche du Tibet, où Pékin mène une campagne de "rééducation" après de récents troubles, selon Free Tibet.
Une vingtaine de Tibétains, en majorité des moines bouddhistes, se sont immolés par le feu ou ont tenté de le faire en moins d'un an dans les zones tibétaines chinoises.
De nombreux Tibétains ne supportent plus la répression de leur religion et de leur culture, ni ce qu'ils considèrent comme une domination grandissante des Hans, ethnie fortement majoritaire en Chine. (...)
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(Seuls les bérets américano-français
croyaient encore aux chances
du Résident)
La France sarkozyste, pays angoissé,
ou pourquoi les Français l’aiment moins
et la quittent plus
(...) S’éloigner de notre belle France pour aller parcourir des pays étrangers (où les gens parlent l’étranger, se foutent de la grossesse de Dadame Bruni et trouvent normal – les cons – qu’on soit plus imposé quand on est riche que quand on ne l’est pas) n’est pas dépourvu de risques.
D’abord, comme on nous l’assène depuis des années, il faut être prudent et penser toujours très très fort à notre Identité Nationale en serrant bien les fesses pour ne pas la perdre par mégarde dans un caniveau à force d’entendre parler le pas-français, de manger autre chose que les plats homologués – désormais patrimoine de l’humanité, grâce à notre Président –, voire de s’intéresser aux coutumes sauvages de tous les expulsés potentiels qui vous entourent dès que vous passez les frontières, qu’ils soient ou non entrés dans l’histoire. Donc, voyager, c’est très dangereux pendant toute la durée du voyage.
Mais voyager, on le découvre à ses dépens, s’avère tout aussi dangereux au retour du voyage. Parce qu’à force d’évoluer jour après jour dans la logorrhée sarkozyste, on finit par développer des anticorps et par s’immuniser un peu, exactement comme pour la gastro hivernale si typiquement française. (...)
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(- Mal - dessiné par un des fils du Résident,
le casseur de l'école en action)
"Big Bill le casseur". Francis Lopez senior
Pourquoi veulent-ils casser l’école ?
Christian Laval
(...) Les récentes réformes n’ont fait qu’accélérer une tendance longue qui vise à transformer profondément le fonctionnement de l’école, ses modes de régulation et ses objectifs. Mais M. Sarkozy a choisi la manière forte, en détériorant délibérément les conditions d’enseignement et d’apprentissage pour mieux imposer ses projets. L’actuel secrétaire d’Etat chargé du logement Benoist Apparu avait vendu la mèche lors d’un « chat » sur le site du Monde, le 20 mai 2009. Il s’était alors dit « convaincu que la suppression de postes obliger [ait]l’institution à s’interroger sur elle-même et à se réformer ». « Seule la baisse des moyens obligera l’institution à bouger », avait-il ajouté.
Après la mise en route de l’« université entreprise », recommandée par l’Union européenne, c’est au tour de l’enseignement primaire et secondaire de se soumettre à la norme de l’employabilité, de l’efficacité, de la performance. Dans l’optique des réformateurs actuels, tout, jusqu’à la pédagogie, doit se calquer sur le monde économique, car l’école ne fait rien d’autre que produire le « capital humain » et les « compétences de base » qui lui sont nécessaires. Cette logique normative, supposée faire passer l’efficacité avant tout, est aujourd’hui portée par une hiérarchie intermédiaire de plus en plus centralisée et censée appliquer rigoureusement toutes les réformes, mesures et consignes reçues d’en haut. Le temps le plus noir de l’autoritarisme dans l’enseignement semble (est) revenu. (...)
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"Cette pomme de terre OGM...
Hum... Pousse normalement...
Même si elle est un peu mince?"
"Cette pomme de terre OGM...
Hum... Pousse normalement...
Même si elle est un peu mince?"
Conflits d’intérêts
à l’Autorité Européenne
de Sécurité Alimentaire
par Ceri (son site)
(...) Pour vendre des produits alimentaires en Europe, les entreprises doivent demander une autorisation à l’EFSA, qui évalue les risques et donne ou pas son accord.
Les dossiers soumis à l’EFSA tiennent souvent en des milliers de pages et sont protégées par le secret commercial invoqué par les multinationales de l’alimentaire. Des études indépendantes et/ou critiques sont donc impossibles à réaliser. (tiens?) Et bien sûr, les études menées par l’industrie concluent toujours qu’il n’y a pas de risques, quitte à biaiser les résultats comme on a pu le voir avec l’amiante, le tabac, les téléphones portables, les OGM, les pesticides, l’aspartame ou encore le bisphénol A (BPA) contenu dans de nombreux emballages. (non... je ne peux pas le croire...)
L’EFSA n’a pas les moyens de commander des études contradictoires, et de fait c’est au consommateur de prouver les risques (cinquante ans plus tard). Car même quand des études indépendantes existent, l’EFSA n’en tient pas compte (ou ne sait même pas qu’elles existent) et continue à se baser seulement sur les études industrielles. Et encore, ces études indépendantes sont menées après la commercialisation, puisque avant les chercheurs n’ont accès à aucune donnée sur les produits.
Il semblerait également que l’EFSA soit fortement influencée par les industriels lorsqu’elle évalue les risques, comme c’est le cas pour les OGM.
C’est ainsi que l’EFSA continue à envisager les choses sous l’angle de la DJA, la dose journalière admissible pour chaque produit. Or, il est démontré que la DJA ne correspond à rien et n’est certainement pas une mesure scientifique. L’EFSA tient compte de la dose maximale avec laquelle « on » ne constate pas d’effet, mais les études indépendantes estiment que cette dose est surévaluée, et que des problèmes peuvent survenir à des doses moindres que celles fixées par l’EFSA et le codex alimentarius. Finalement, encore une fois, l’EFSA se base sur les délires (heu... salop... conviendrait mieux) des industriels. (...)
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Luc Desle
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