Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

dimanche 28 août 2011

"Aglagla Christie n'eut pas le même succès que sa presque homonyme". Jacques Damboise in "Pensées contrites"

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Henry Patrick Raleigh 1880 - 1944

   (...) Issu d'un milieu défavorisé des bas quartiers de San Francisco, Raleigh travaille dès l'âge de 9 ans pour aider sa mère. Il quitte l'école à 12 ans pour devenir docker. A 17 ans, il travaille pour un journal, le "Francisco Bulletin". Il part pour New York où il travaillera pour Vanity Fair, Harper's Bazaar entre autres. Pendant plusieurs décennies, il croquera et peindra la hupper class. Son trait est constamment mordant, ses personnages sont à la limite de la caricature. Le regard que porte Raleigh sur les gens d'argent est très critique. Cependant son talent est de sublimer ce regard qui aurait pu être cynique en une véritable "touche" artistique doublée d'une pointe de sociologie. Il s'agit d'un authentique peintre de grand talent qui emploie une palette de couleurs chaudes, presque sucrées, pour des descriptions d'une rugosité fatale.
   Très dépensier, prêtant de l'argent sans compter, Raleigh finira ruiné. Il se suicidera en se jetant de la fenêtre d'un hôtel médiocre à Times Square.
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"Tu sais ce qu'il m'a dit?
- Que t'étais une cruche?
- Hein?
- Je plaisantais, bien sûr..."
Henri Praleigh1926
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"Je vois... Je vois... que votre mari a une aventure...
- Comment? Et avec qui?
- Il me semble qu'il s'agit d'une liseuse de bonne aventure...
Mais ce n'est sûr qu'à 99,9%."
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"Oh, John, cette surprise... Quelle est-elle?"
(Si elle avait su, la comtesse Partridge n'aurait pas été aussi impatiente
de savoir quelle surprise lui réservait le terrible tueur en série 
surnommé "Le Gentleman")

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"Non, Mademoiselle, je ne suis pas habillé 
en pingouin mais en maître d'hôtel...
- Ouf, je suis rassurée..."

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"Vous avez l'air passablement rêveur, Gontran...
- C'est que je suis complètement bourré, Gladys."

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Nadine Estrella

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