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"Vous voulez voir un conseiller de la Banque de France?
Voyons voir... Vous allez tout droit puis, au bout,
vous tournez à droite, puis tout de suite à gauche...
vous prenez un taxi qui vous conduit à l'aéroport...
vous prenez le premier avion venu et allez dans
cette île... qui... bref, une île paradisiaque. Là, vous...
- Heu... Merci, finalement je ne crois pas que c'était une bonne idée"
"Vous voulez voir un conseiller de la Banque de France?
Voyons voir... Vous allez tout droit puis, au bout,
vous tournez à droite, puis tout de suite à gauche...
vous prenez un taxi qui vous conduit à l'aéroport...
vous prenez le premier avion venu et allez dans
cette île... qui... bref, une île paradisiaque. Là, vous...
- Heu... Merci, finalement je ne crois pas que c'était une bonne idée"
28 octobre 2011
Sarkozy, plus c’est gros
plus ça passe (suite…)
Jean-François Couvrat
(...) La fatigue due à cet interminable « sommet » européen explique probablement cet ultime dérapage présidentiel, témoin lui aussi de sa prétention à décider de tout, même de ce qui lui échappe :
« J’ai demandé au gouverneur de la Banque de France de recevoir dans les jours qui viennent la totalité des banquiers français pour les interroger sur le plan de recapitalisation qu’ils mettront en œuvre (…). Nous demanderons aux banques françaises que la quasi totalité de leurs dividendes serve à l’augmentation de leurs fonds propres plutôt qu’à la rémunération de leurs actionnaires (…). Le gouverneur veillera à ce que la pratique des bonus et celle des rémunérations rentre enfin dans une pratique normale… »
Le problème est que le statut de la Banque de France, réformé en 1994 lorsque Nicolas Sarkozy était ministre du Budget et porte-parole du gouvernement, stipule expressément ceci :
« Dans l'exercice des missions qu'elle accomplit à raison de sa participation au Système européen de banques centrales, la Banque de France, en la personne de son gouverneur ou de ses sous-gouverneurs, ne peut ni solliciter ni accepter d'instructions du Gouvernement ou de toute personne. (Ben zut, alors, le Résident il avait oublié...)»
Au lieu de solliciter indûment le gouverneur, et faire semblant d’agir à travers lui, Nicolas Sarkozy aurait peut-être pu envisager les mesures législatives qui s’imposeraient aux banques – car cela, il le peut (car qui peut peu ne peut pas?). (...)
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(Réponse au slogan des écologistes
'Vous n'imaginez pas le pouvoir de l'écologie':
NON... et je me trompe rarement)
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Pourquoi je ne voterai pas
pour Eva Joly en 2012
Le Yéti voyageur à domicile
(...) Il y a une autre façon de juger des convictions d'une personnalité politique et du groupe qui la soutient : c'est la différence entre les intentions proclamées et le comportement dans la vraie réalité.
Prenons les votes du groupe écologiste au Parlement européen depuis 2009 (seul endroit où ils sont à ce jour significativement représentés) :
20 octobre 2010 : vote (avec la droite ! ) d'une résolution précisant que « le financement des pensions [de retraite, ndlr] ne peut être entièrement laissé au secteur public, mais doit reposer sur des systèmes à trois piliers, comprenant des régimes de retraite publics, professionnels et privés ».
13 octobre 2011 : vote (avec la droite ! ) d'une résolution demandant « la mise en place d'un mécanisme plus rapide et plus strict qui permette à la Commission de faire respecter l'acquis relatif au marché unique dans les États membres ».
Enterrement en grande pompe de la retraite par répartition, ode au « marché unique » et reconnaissance de la toute puissance d'une Commission européenne affranchie de tout droit de véto parlementaire ? (bon, on n'a pas vraiment compris pourquoi l'auteur ne votera pas pour Joly, qui paraît plus droite - hem - que ses petits camarades, mais le rappel des faits était digne d'être signalé...) (...)
Lire la suite sur:
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"Hé-M'Dame-Ch'uis-Pas-Là-
Pour-Te-Torcher-Les-Fesses-Moi!
-Huhuhu... Ces nouvelles auxiliaires de vie
ont vraiment de l'humour"
Retraités abandonnés :
l'auxiliaire de vie avait oublié qu'elle travaillait
(Le chapeau, comme d'hab', chez les journalistes
intègres est légèrement put...
Le Parisien aurait pu parler de l'impéritie
de la Direction, par exemple.)
(...) Au lendemain du scandale de la maison de retraite de Carrières-sous-Poissy (Yvelines), le parquet de Versailles a ouvert une enquête préliminaire pour mise en danger de la vie d'autrui et délaissement. Dans la nuit de mardi à mercredi, soixante et onze pensionnaires de la résidence pour personnes âgées "Le Sourire" ont été littéralement abandonnées par le personnel et secourues par la police.
Les deux employées au statut de femmes de ménage, qui assuraient le service de jour, ont quitté les lieux à 19 h 30 sans attendre l'arrivée de la relève (la fatigue d'être sous-payée et considérée comme de la m... expliquant peut-être certaines réactions...) et les deux femmes de la nuit ne sont jamais arrivées.
Mercredi, les policiers du commissariat de Poissy ont entendu de nombreuses victimes particulièrement choquées par cette expérience. Ils ont aussi entendu les deux femmes qui devaient travailler ce soir-là. La première, agent hôtelier, avait prévenu de son absence dans la matinée (qu'a fait la direction de l'établissement pour pallier à cette carence?). Elle s'était mise en arrêt maladie parce que son enfant était souffrant (quoi?! Les enfants du petit personnel ont également une vie? Scandale...). La seconde, une auxiliaire de vie vacataire, âgée de 44 ans, en poste depuis début novembre, soutient qu'elle avait tout bonnement oublié qu'elle travaillait (pour un salaire de misère et aucune considération... qui ne comprend pas?). Et son téléphone portable n'était pas en réception.
La suite de l'enquête devrait permettre de mettre en lumière les différents niveaux de responsabilité dans ce grave dysfonctionnement (dont, le premier, est dû à la direction... Mais ce qu'on en dit, nous, hein, affreux marxistes...).
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"Quoi, mon nom me convient bien?
Quoi ça, je réagis au quart de tour comme une gonzesse?
T'es qui, Toi, d'abord?
Viens ici qu'on s'explique entre mecs!"
Noah : Douillet et l'Espagne (rien que ça) en colère
Nicolas Rouyer avec AFP
(...) Les condamnations sont vives après les déclarations de Yannick Noah dans Le Monde.
Ils ont en commun d'avoir longtemps figuré (ou de figurer encore) dans la liste des sportifs préférés des Français. Mais, sur la question du dopage, Yannick Noah et David Douillet ne sont pas vraiment en accord. Le ministre des Sports, très protocolaire, a pris la parole samedi soir, dans le 20-Heures de France 2, pour réagir à l'édito du franc-tireur chanteur publié dans Le Monde daté de samedi et dans lequel il milite pour une légalisation du dopage, par équité sportive.
"Ce sont des propos graves et irresponsables. C'est un sujet extrêmement lourd (heu...), on parle ici de tricherie (ben non, si c'est légalisé...) et de santé publique", a insisté l'ancien judoka, qui a dit être "la preuve vivante qu'on peut gagner sans se doper" (heu... dopé aux pièces jaunes, peut-être?). (et blablabla...)
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Luc Desle
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