***
(Mieux vaut en rire qu'en pleurer?)
***Petit chantage sexuel ordinaire à l'embauche
Les affaires de mœurs dominent l'actualité politique française du moment. On ne peut pas le nier. Et, dans cette patrie où le droit de cuissage semble se perpétuer, il n'est pas toujours évident de dire non.Sélectionné et édité par Daphnée Leportois
***
Petit chantage sexuel ordinaire à l'embauche
Les affaires de mœurs dominent l'actualité politique française du moment. On ne peut pas le nier. Et, dans cette patrie où le droit de cuissage semble se perpétuer, il n'est pas toujours évident de dire non.
Sélectionné et édité par Daphnée Leportois
(...) J'en ai connu, de ces hommes, convaincus de leur supériorité, de ce côté intouchable qui leur conférait une impunité quant à leurs actes.
Le dernier spécimen que j'ai rencontré, c'était dans le cadre d'une embauche. J'étais alors en recherche d'emploi, et avais répondu à une offre, ce qui m'avait valu d'être convoquée dans un cabinet de chasseurs de têtes pour y rencontrer le DG de l'entreprise, entreprise dont j'ignorais tout, jusqu'au nom.
Durant ce premier entretien, l'homme s'était montré pressant, séducteur, me proposant alors de le retrouver le soir à son hôtel, ou de l'accompagner pour une semaine de salon à Milan.
La frontière est parfois floue (exprès?) entre séduction, drague un peu lourdingue, et pressions. J'ai alors refusé prétextant des obligations et en espérant qu'il ne verrait pas dans ce refus un manque de volonté de travailler pour son entreprise.
Puis, après quelques semaines, j'ai à nouveau été convoquée pour un second entretien, mais dans ses locaux cette fois.
Durant ce second rendez-vous, la séduction est devenue franchement autre chose, main négligemment posée sur mon épaule, sur le cou, sous-entendus à peine voilés, flatteries déplacées, et pour finir cette demande, que nous partions, ensemble, lui et moi, en week-end, pour, je le cite, "faire plus ample connaissance". ("et, si vous voulez, j'amène un copain, un gros ponte séducteur..." aurait-il rajouté)
J'ai répondu que mon époux serait sans doute ravi de nous accompagner. Ah ? L'invitation ne l'incluait pas ? Désolée, j'avais mal compris, donc non, ce ne sera pas possible.
Je savais en ressortant qu'elle allait être la réponse, ou plutôt l'absence de réponse. De ce point de vue là, je n'ai pas été déçue. Je n'ai pas eu ni le poste, ni nouvelles. (...)
Par Dom La Ménagère, chroniqueuse
A lire sur:
***
4ème de couverture de
"La machine égalitaire"
livre(?) d'Alain Minc.
"En poussant le jeu du marché...
on rendra à ce rêve (égalitaire)
toutes ses chances de s'incarner"
(oui, da camarrade...)
***
Info Obs :
un Minc à la direction de Paris-Match
(...) Le fils d’Alain Minc, Edouard, a été nommé éditeur de Paris-Match (journal de référence, s'il en est), selon des informations du Nouvel Observateur, confirmées par Bruno Lesouëf, directeur général des publications de Hachette Filipacchi. (...)
(...) A un an de l'élection présidentielle, cette nomination dans un magazine tel que Paris-Match risque de provoquer des remous. Son père, Alain Minc, visiteur du soir de l’Elysée, est considéré comme l’une des éminences grises (éminences? penseurs?) de Nicolas Sarkozy. (...)
***
"L'intégrité engendre la crédibilité."
[Wayne Cheng]
journaldugamer.com
(M. Pokora, chanteur intellectuel,
réfléchissant aux propos de Monsieur Minc,
économiste mondain)
***
Alain Minc (rappel, en passant)
Condamnation judiciaire pour plagiat
(...) Alain Minc a été condamné le 28 novembre 2001 par le Tribunal de grande instance de Paris à verser 100 000 francs (environ 15 000 euros) à titre de dommages et intérêts pour plagiat, reproduction servile et contrefaçon, pour son ouvrage intitulé Spinoza, un roman juif, dont le tribunal a statué qu'il était une contrefaçon partielle de l’ouvrage Spinoza, le masque de la sagesse de Patrick Rödel. (...)***
"Comment ça, tou vé ouné référendumpour faire l'amour... Per qué?"
Quattro volte sì venus d’Italie
Publié par Corinne Lepage le 14 juin 2011 dans International, Pouvoir législatif, nuclèaire
(...) C’est pourtant une formidable leçon de démocratie que les italiens viennent de nous administrer sur les quatre sujets qui étaient soumis à référendum. - Leçon de démocratie, tout d’abord, par le recours au référendum d’initiative populaire, qui nous est interdit en France. Certes, dans la grande opération de communication à laquelle s’est livré le président de la République dans la réforme de la constitution, l’idée d’un référendum à l’initiative de la population figurait bien ; mais, comme par hasard, la loi organique qui devait l’instaurer n’a jamais été votée. D’autant plus qu’il ne s’agissait en rien d’un référendum d’initiative populaire, pour deux raisons : d’une part, le parrainage par les parlementaires était indispensable et, d’autre part, le seuil de 4 millions d’électeurs pour permettre une telle initiative était quasiment inatteignable.
A titre de comparaison, rappelons qu’à l’échelle européenne, 1 million d’européens ont le pouvoir de générer une initiative au sein du Parlement européen. Pourtant, en France, les citoyens ne peuvent pas demander à ce que leur soient posées ces grandes questions sur lesquelles les italiens se sont prononcés. De surcroît, on constate que ces grands sujets ne font pas partie du débat français. En effet, ce dernier se limite à la lutte pour la sécurité, contre l’immigration et contre les criminels récidivistes, sujets certes très importants mais de toute évidence instrumentalisés afin d’éviter que ne soient abordés d’autres sujets. (...)Lire la suite sur:
***"Mais enfin, mon chéri,
Pierre Palmade, il voudrait...- Oui?- Enfin... Tu sais... devant le Maire...- Il veut quoi? Se présenter à une élection?- (soupirs)"François Baroin «ne connaît pas d'ami gay» qui veuille «se marier»
(...) Alain Minc a été condamné le 28 novembre 2001 par le Tribunal de grande instance de Paris à verser 100 000 francs (environ 15 000 euros) à titre de dommages et intérêts pour plagiat, reproduction servile et contrefaçon, pour son ouvrage intitulé Spinoza, un roman juif, dont le tribunal a statué qu'il était une contrefaçon partielle de l’ouvrage Spinoza, le masque de la sagesse de Patrick Rödel. (...)
***
"Comment ça, tou vé ouné référendum
pour faire l'amour... Per qué?"
Quattro volte sì venus d’Italie
Publié par Corinne Lepage le 14 juin 2011
dans International, Pouvoir législatif, nuclèaire
(...) C’est pourtant une formidable leçon de démocratie que les italiens viennent de nous administrer sur les quatre sujets qui étaient soumis à référendum.
- Leçon de démocratie, tout d’abord, par le recours au référendum d’initiative populaire, qui nous est interdit en France. Certes, dans la grande opération de communication à laquelle s’est livré le président de la République dans la réforme de la constitution, l’idée d’un référendum à l’initiative de la population figurait bien ; mais, comme par hasard, la loi organique qui devait l’instaurer n’a jamais été votée. D’autant plus qu’il ne s’agissait en rien d’un référendum d’initiative populaire, pour deux raisons : d’une part, le parrainage par les parlementaires était indispensable et, d’autre part, le seuil de 4 millions d’électeurs pour permettre une telle initiative était quasiment inatteignable.
A titre de comparaison, rappelons qu’à l’échelle européenne, 1 million d’européens ont le pouvoir de générer une initiative au sein du Parlement européen. Pourtant, en France, les citoyens ne peuvent pas demander à ce que leur soient posées ces grandes questions sur lesquelles les italiens se sont prononcés. De surcroît, on constate que ces grands sujets ne font pas partie du débat français. En effet, ce dernier se limite à la lutte pour la sécurité, contre l’immigration et contre les criminels récidivistes, sujets certes très importants mais de toute évidence instrumentalisés afin d’éviter que ne soient abordés d’autres sujets. (...)
A titre de comparaison, rappelons qu’à l’échelle européenne, 1 million d’européens ont le pouvoir de générer une initiative au sein du Parlement européen. Pourtant, en France, les citoyens ne peuvent pas demander à ce que leur soient posées ces grandes questions sur lesquelles les italiens se sont prononcés. De surcroît, on constate que ces grands sujets ne font pas partie du débat français. En effet, ce dernier se limite à la lutte pour la sécurité, contre l’immigration et contre les criminels récidivistes, sujets certes très importants mais de toute évidence instrumentalisés afin d’éviter que ne soient abordés d’autres sujets. (...)
Pierre Palmade, il voudrait...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire