Bonjour à vous qui, dans le maelström du net, êtes arrivés, par hasard? lassitude? erreur? sur ce blog. Vous êtes les bienvenus. Vous y lirez des extraits d'articles, de pensées, d'interviews, piochés ça et là, et illustrés de photos et dessins détournés, via un humour de bon aloi. Vous pouvez évidemment réagir avec le même humour, la même ironie que nous mettons, chaque jour, à tenter de respirer un peu plus librement dans une société qui se corsète chaque fois un peu plus.

lundi 26 décembre 2011

"A la Noël, comme il était minuscule, on enferma le Résident dans un paquet cadeau... et on l'oublia dans un coin de la pièce". Benoît Barvin in "Pensées à bourre-pif"


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"Noël au balcon, 
enrhumé comme un con. "
 Proverbe (catarrheux?)

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« Plus le mensonge est gros, plus il passe. »
 Joseph Goebbels
http://www.evene.fr/citations/
(Et plus on l'a dans l'baba?)



("Des chiffres à ne surtout pas oublier", 
disait cet homme politique, atteint d'Alzheimer)
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"LAISSEZ-MOI TRANQUILLE!!!
JE NE SUIS PAS CELUI QUE VOUS CROYEZ!"

L'embarrassant courrier 
de Georges Tron à Pierre Lellouche
(la gangrène affairiste s'étendrait même
aux secrétaires d'état? On ne peut y croire...)

   (...) Le courrier, en date du 21 septembre, intrigue les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles. Selon "Le Parisien", son auteur est l'ex secrétaire d'Etat à la Fonction publique et député-maire UMP de Draveil (Essonne) Georges Tron, et son destinataire son ancien collègue du gouvernement, le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur Pierre Lellouche (UMP).
   Dans cette lettre, Georges Tron, mis en examen pour viols sur deux anciennes collaboratrices de la mairie de Draveil, demande à Pierre Lellouche d'intervenir auprès de l'administration fiscale pour qu'elle soit indulgente avec un certain Willy Bernard, directeur d'une société de panneaux solaires et ex dirigeant du club de foot d'Angers (Maine-et-Loire), condamné début 2011 à deux ans de prison avec sursis pour abus de biens sociaux.
   Toujours selon "Le Parisien", cette demande émane de deux hommes, Noël D. et Thomas N., qui détiendraient un enregistrement sonore d'une des victimes présumées de Georges Tron susceptible, selon eux, de démontrer qu'elle a menti. Ils auraient alors fait pression sur le maire pour qu'il intervienne en échange de la bande.
   Mais cette bande, transmise anonymement au tribunal d'Evry, "n'apporte rien de probant", assure une source proche de l'enquête au Parisien. Ce qui n'aurait pas empêché les deux hommes de se plaindre, en août dernier, du non-respect du "deal". (...) (tant qu'à faire, hein?)


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"Ton cheval, il est même pas casher!"

Israël, quel est ton nom ?
(Heu... on a le droit de le dire?)
Frédéric Koller

   (...) Le Parlement israélien doit prochainement débattre d'un projet de loi qui définirait Israël comme un "Etat juif". Un projet qui isolerait un peu plus les citoyens arabes de ce pays et tendrait encore davantage les relations avec l'Autorité palestinienne. (...) (non? Vous croyez vraiment?)
   (...) C’est le débat qui échauffe les esprits en Israël : doit-on parler d’un Etat juif plutôt que de l’Etat d’Israël ? Un Etat peut-il être juif et démocratique ? (ceci étant, il y aurait aussi des états musulmans et... heu... démocratiques... A ce qu'on dit...) Le Premier ministre Benyamin Netanyahou et ses alliés de l’extrême droite, emmenée par le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman, tentent d’imposer ce nouveau vocabulaire à leurs partenaires internationaux. Le parlement israélien (Knesset) a pour sa part été saisi d’une proposition de loi qui définirait de façon plus stricte la notion d’Etat juif en l’inscrivant dans la Constitution : l’arabe ne serait plus langue officielle et la loi hébraïque servirait de source d’inspiration au législateur.
   En acceptant un plan de partage de la Palestine en 1947, l’ONU avait présidé à la création d’Israël comme un Etat pour les juifs, où les droits de la minorité arabe seraient préservés. (dans une fosse à purin?) Parler d’un Etat juif est de nature à changer l’identité d’Israël. La judéité devenant consubstantielle à l’Etat, quelle place sera dès lors faite aux non-juifs ? (...) (on ose une hypothèse: aucune?)


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Luc Desle

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